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Études réalisées sur les Templiers

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Etablissements des Templiers dans le diocèse d'Elne

Les Templiers vinrent de Catalogne en Roussillon (1) : une première charte, du 5 des nones d'octobre 1132, nous fait connaître une donation faite à leur ordre par le seigneur de Banyuls-del-Aspre, et un autre document de l'année 1138 nous apprend que, dès ce moment, la grande commanderie du Roussillon, le Mas-Deu, existait ; cette dernière pièce est la donation faite aux Templiers par Guillaume de Villamolaça et Orgollosa, sa femme, de la dime qu'ils percevaient « in ipso campo in quo est jam oedificatus et constructus mansos supra dictae militiae hierosolomitanae qui appellatur à militibus mansio Dei. » Les aumônes affluaient déjà depuis plusieurs années (2) : en août 1133, dame Azalaïdis avait donné l'alleu de Cira à Villamolaça, et c'est sur cet alleu que fut construite la commanderie ; en même temps l'Ordre héritait de biens à Nille et à Palau-del-Vidre ; Bernard Bérenger, vicomte de Terrasiis, cédait ses biens de Premane dans le Fenouillet (1136), et l'alleu de Saint-Cernau, en 1137, pour être enseveli au Mas-Deu.
(1) Le comte Bérenger de Barcelonne avait reçu les premiers Templiers ; il leur donna le château de Granyena et mourut parmi eux. (Archives de Barcelone, livre du Temple, fº. 84).
(2) Tous ces documents sont extraits du cartulaire du Temple, El libre de la Creu, aux archives départementales des Pyrénées-Orientales.


Le précepteur de ces biens, qui semble être encore le frère Hugues Rigold, le même qui avait emmené la première colonie de Barcelonne, acquérait de l'abbé de Saint-Sauveur-de-Bréda, près de Girone, le prieuré de Cira pour 12,000 sols melgoriens, et vit dès-lors les domaines de la maison s'étendre à Toluges, Canohès, Trullas, Anyils, Pla-de-Cors, etc.

Peu après la fondation du Mas-Deu, des préceptories secondaires se formèrent en Roussillon : d'abord au Mas-de-la-Garrigue, au Pont-Couvert-sur-Réart, don de Gaufred, comte de Roussillon ( 1149 ) ; puis à Palau-del-Vidre , où les Templiers héritèrent du château par la libéralité du comte Gérard (1172), et les chartes nous ont conservé les noms de deux précepteurs, Guillaume de Rocafort (1198) et Bernard de Belcaire (1199). Ce ne fut que plus tard que se fondèrent les maisons de Perpignan et de Saint-Hippolyte; les Templiers avaient déjà quelques propriétés, dans cette dernière localité, provenant de la générosité de Bérenger de Palazol (1207), quand Pons de Vernet leur céda le château (1246) (1); cinq ans après, on trouve un frère Cabot, précepteur de ce manoir. Les précepteurs du Mas-Deu avaient acquis une grande partie des terrains qui environnaient Perpignan ; ils avaient acquis, par legs du comte Gérard de Roussillon, les fours bannaux (1172) qui donnèrent lieu à toutes sortes de discussions jusqu'à ce qu'enfin le comte Nuno Sanchez reconnût solennellement cette propriété (1227), et que le conseil de la ville se fût définitivement soumis à cette décision, en novembre 1267 ; dès avant 1187, l'Ordre avait une maison à Perpignan dans laquelle Jacques Ier., roi de Majorque, déposa son trésor, ce qui indique que ce devait être une maison forte, et un acte de 1211 nous fait connaître qu'un frère Balaguer en était précepteur.
(1) Les Templiers furent assez longtemps à acquérir entièrement ce beau domaine ; mais ils firent preuve d'une persistance soutenue ; en 1207, Bérenger de Pallol (ou Palazol) leur lègue ce qu'il possédait en ce lieu ; Pons de Vernet ajoute à ces biens quelques terres (1209), puis bientôt tout le village (1211).
Pierre de Sainte Marie cède un fief, moitié par vente, moitié par aumône (1222) ; Pierre de Castel délaisse ce qa'il y tient en terres, serfs, etc. (1236).
Pons de Vernet enfin se dessaisit par vente du château (1246), ce que Armangard, son fils, se hâta d'approuver.
Mais le précepteur du Mas-Deu voulait si bien tout posséder qu'en 1256, il achète une rente d'une oie et se fait donner, (1264) un sixième de la dîme par Villa de Mar. Les Templiers commencèrent, la même année, a inféoder le château. Les deux premiers gentilshommes qui le détinrent à ce titre furent Raymond de Castell et Guillaume de Saint-Hippolyte, frères.


Quand le roi Jacques voulut faire agrandir la ville, il eut recours aux Templiers qui possédaient tous les alentours, et de 1241 à 1282,on ne comptait pas moins de trois cents inféodations de terrain souscrites par eux. En 1207, le roi Pierre d'Aragon avait donné à l'Ordre un terrain à Collioure pour y faire construire une maison qui subsista jusqu'en 1310.

La position des Templiers en Roussillon avait démesurément grandi ; je vais donner une rapide indication de leurs acquêts gratuits d'après le texte du cartulaire :
Alleu à Ceret,du seigneur du lieu (1143).
Terres aux Clusas, de Raymond de Montesquieu (1144).
Fief à Toluges, d'Arnaud de Montescot (1153).
Terres à Saint-Félix-d'Aval, du vicomte de Castelnon (1153).
Métairie, à Bompas, du comte Gaufred (1153).
Métairie, à Pollestres près Malloles, du comte Gaufred (1155).
Terres à Brulla, de Bernard de La Roche (1178).
Terres à Palau, de Bernard de La Roche (1172).
Un fief à Saint-Félix-d'Aval, d'Arnaud de Cabestany (1174).
Alleu de Berges, de Pons d'Ortaffa (1174).
Alleu de Mosset, d'Adhemar de Mosset (1176).
L'étang de Bages, de Bérenger de Bages (1181).
Fief de Finestret, d'Hugues de Nava (1182).
Le village d'Anyls, par Guillaume de Montesquieu (1182).
Fief d'Urbanya, par Guillaume de Paracoles (1186).
Des terres à Pratz, de Mollo, (1187).
Alleu de Pontella, par Béranger de Couma (1195).
Fief de Villeneuve-de-la-Raho, par Raymond de Castel-Rossello (1194).
Une métairie à Villefranche de Conflent (1196).
Fief à Sainte-Marie, par Bertrand de las Clusas (1198).
Les dîmes de Palau, Sorrède et Villaclare, par Raymond de Castel-Rossello (1205).
Le château de Granollet, par Pierre de Granollet (1210) (1).
Un fief à Théza, par Hersende Rifardis, pour être inhumée dans le cimetière du Mas-Deu (1215).
Des terres et des serfs à Baixas, par Bérenger de Malloles (1216).
Le village de Terrats (1228).
Deux fermes à Vilar, par Guillaume d'Oms (1228).
Le marché de la Gélinerie à Perpignan, par le comte Nuno Sanchez (1237).
En 1271 Bernard d'Oms, frère d'Arnaud de Montesquieu, vendit au Mas-Deu le village et le château d'Orle (1271).

D'autres avaient fait des legs divers aux Templiers :
Curbo de Brouilla leur laissa son palefroi et ses armes (1169).
Bernard de Brouilla, le quart de sa récolte d'olives pour entretenir perpétuellement un cierge allumé dans la chapelle du Mas-Deu 1172);
Bernard de La Rocque, ses biens de Palau et son cheval qui était engagé pour 100 sols à Perpignan (1172).
Raymond d'Orle, ses armes (1185).
Guillaume de Montesquieu ses armes et son palefroi (1214).
Pierre de Llupia fit de même en y ajoutant des terres « timens poenas inferi et cupiens pervenire ad gaudia Paradisi » (1214).
Bérenger de Céret et sa femme léguèrent leur fief de Maurellas, à condition de pouvoir se retirer au Mas-Deu, s'il voulaient (1253), comme on le voit, toute la noblesse du Roussillon voulut figurer parmi les bienfaiteurs de l'Ordre.
(1) Cette donation, en catalan, porte avec la date l'indication des règnes du roi de France et du roi d'Angleterre.

Le précepteur du Mas-Deu comptait aussi de nombreux hommes liges dont plusieurs appartenaient à la noblesse, comme Pons d'Ortaffa (1174), Bérenger de Baixas (1161). Les souverains même ne demeurèrent pas en arrière dans ce mouvement : en 1194, le roi Alphonse d'Aragon complète la donation de l'étang de Bages pour que les religieux puissent le dessécher et le cultiver; Pierre confirme cette générosité en 1204; le roi Jacques voulut qu'aucun de ses officiers ne pût entrer dans l'une des maisons du Temple pour poursuivre un des religieux et de leurs hommes, sans observer un délai de dix jours à partir de la signification de la plainte (1259). Mais aussi ces privilèges, joints aux larges concessions de Jacques-le-Grand, portèrent à ce point l'orgueil des frères que, lors de l'érection du royaume de Majorque, ils ne craignirent pas de réclamer souveraineté absolue, pour les villages et châteaux possédés par eux en Roussillon, Cerdagne, Valespir, et Conflent; l'infant Jacques, héritier de Majorque, Conflent, Roussillon et Vallespir, s'en rapporta à l'arbitrage de Gérald, abbé de Saint-Paul de Narbonne, et de Gauzbert de Voconaco, abbé de Saint-Félix de Girone, qui conclurent simplement à ce que les Templiers conserveraient toute juridiction sur Orles, Saint-Hippolyte, Nyls et Terratz, sauf encore pour les crimes emportant peine de mort, perte d'un membre on bannissement, qui demeuraient aux officiers royaux (6 des ides de décembre 1271).

Le précepteur du Mas-Deu avait la haute direction des précepteurs secondaires du Roussillon auxquels il devait ce-pendant en référer, car une charte de 1263, par laquelle il inféodait le domaine de Saint-Hippolyte, est faite après que les autres précepteurs eurent été consultés ; il se trouvait lui-même sous la dépendance du maître du Temple en Catalogne et son principal officier était le bailli forain du Mas-Deu. Comme on le voit par la donation de l'étang de Bages, les Templiers étaient agriculteurs ; ils employaient des esclaves et jusquesà la fin eurent des Sarrasins. Le cartulaire que j'ai déjà cité contient l'acte d'une vente de ce genre, accomplie à Perpignan le 1er des calendes de mars 1286. Jacques de Oleriis, précepteur du Mas-Deu, acheta un Sarrasin, nommé Azmet, de Pierre Floris, procureur de Pons de Castelario, chevalier, moyennant une somme de 11 livres 10 sols, bonne monnaie de Montpellier.

Les Templiers ne furent pas plus heureux en Roussillon que dans les autres parties de la France, lors du grand drame qui mit fin à l'existence de leur ordre : ils furent pris et enfermés au nombre de vingt-cinq dans le château de Trullas : Raymond de La Garde, était alors précepteur du Mas-Deu : l'information dirigée contre eux par l'évêque d'Elne, en vertu d'une délégation de l'archevêque de Narbonne, commença en février 1309, et se termina le 11 des calendes de septembre 1310. Tous protestèrent de leur innocence et la soutinrent énergiquement.

Il ne reste plus aucun souvenir matériel de cette milice fameuse, de cette fière caballaria, comme on peut le lire, dans quelques-uns des titres que nous venons de parcourir :
les manoirs de Perpignan, de Collioure, de la Garrigue, de Palau, de Saint-Hippolyte, d'Orles n'existent même plus à l'état de ruines : seul, le Mas-Deu se montre encore sur le haut d'une colline qui domine à la fois les plaines et la mer ; c'est aujourd'hui une ferme : quelques pans de murs annoncent par l'appareil de la maçonnerie le XIIe siècle; mais les deux ou trois fragments architectoniques qui subsistent, comme l'écusson du pigeonnier, ne remontent pas au-delà du XVIe siècle.

Voici la liste des localités où les Templiers et, après eux pour la plupart, les Hospitaliers exercèrent des droits ou possédèrent des biens
Arrondissement de Perpignan
Préceptorie principale du Mas-Deu
Alenya, Bonpas, Cabestany, Canet, Canohès, Castel Roussillo, Cornella del Vercol, Mailloles, Perpignan, Saint-Mamert, Orles, Toluges, Théza, Vernet près Perpignan, Villeneuve-de-la-Raho, Villeneuve-de-la-Rivière, Garrius, Juegues, Saint-Hippolyte, Saint-Laurent-de-la-Salanque, Salses, Toreillas, Corbere, Saint-Féllu-d'Avall, Anyils, Bages, Brulla, Camelas, Candell, Forques, Llanro, Llupia, El Camp, Ortafa, Passa, Pollestres, Pontella, Trullas, Terratz, Trasserra, Villamolaça, Vilarmila, Anxonis, Borrat, Calmes, Jonqueroles, Prugnanes, Saint-Arnald, Saint-Etienne de Derg, Mateperuste (bois donné en 1143, par Udalgarius, proconsul Feniolotensis), Tournefort.

Arrondissement de Prades
Préceptorie principale du Mas-Deu
Mosset, Orbanya, Villefranche, Belpuig, Fenestret, Rebollet, Carensa.

Arrondissement de Ceret
Préceptorie de Palau
Ceret, las Clusas, las Illas, Vilar-d'Amont, iMaurellas (plus de douze métairies), Placorte, Saint-Martin, Villaclara, Viviers, Albara, Argèles-del-Mare, Palau, Palol, Pujols, Sorrède, Tatzo-d'Avall, Vallbona, Montbolo, Saint-Marsal, le Mas-Tallet à Pratz-de-Mollo.
Sources : Edouard de Barthélemy - Etude sur les Etablissements Monastiques du diocèse d'Elne (Prepignan) - Membre de la Société d'archéologie, Inspecteur des monuments de la Meuse - Bulletin Monumental ou Collection de Mémoires et de Renseignements sur la Statistique Monumentale de La France - Paris 1857.

Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem
Etablissements des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem dans le diocèse d'Elne
Je ne crois pas que les Hospitaliers soient venus beaucoup plus tard que les Templiers en Roussillon ; mais, comme dans toutes les provinces où ces chevaliers se trouvèrent en présence, les Templiers prévalurent en puissance et en richesses. Le comte Guifred cependant sembla vouloir établir une similitude parfaite entre les deux ordres, quand, dans son testament du mois de juillet 1172, il légua aux Templiers le château de Palau ; les fours de Perpignan, les terrains qu'il possédait aux alentours de la ville et les moulins de la porte Malloles, et aux Hospitaliers, le château de Malpas, le marais desséché (de quo ejeci aquam), situé près de l'église Saint-Jean de Perpignan et les moulins voisins de la Léproserie de cette ville. Le premier titre qui fasse mention ensuite de ces derniers religieux-militaires, est un échange entre ces deux ordres de terrains situés à Sainte-Marie-la-Mer et Gabestany (1230). La commanderie était située à Bajoles, près du rivage et je serais tenté de croire que les Hospitaliers s'occupaient beaucoup du commerce maritime et peut-être de la fabrication du sel ; on les voit en effet ne posséder de biens qu'à Collioure, à Saint-Nazaire et à Villarase jusqu'en 1312; c'est en 1268 qu'ils achetèrent le château et le village de Saint-Nazaire et en 1296, ils conclurent un arrangement très-avantageux pour eux avec le seigneur de Canet an sujet de la pêche des étangs de ce village et de Saint-Nazaire. Le privilège accordé aux Hospitaliers de Roussillon, en 1233, par le roi Jacques de Majorque nous apprend qu'ils avaient alors indifféremment à leur service des Chrétiens, des Juifs et des Sarrasins (1). Un document de 1395 nous fait connaître qu'un « enfant mineur avait droit de réclamer la protection des religieux quand ses père et mère étaient homme et femme propres de l'Ordre. »
(1) En 1381 l'Evêque de Valence déclare que les serviteurs catholiques de l'Ordre ne sont pas de juridiction ordinaire, preuve qu'il y en avait alors d'autres qui n'appartenaient pas à la religion chrétienne.

En 1312, les Hospitaliers héritèrent des Templiers et occupèrent Palau, Saint-Hippolyte, Terratz, Anyils, etc. Vers la fin du siècle précédent, ils avaient établi une maison à Banyuls-del-Mare, et c'est dans l'une des salles que fut rédigée, en présence de Philippe, fils du roi de Majorque, la charte ordonnant la perception de la gabelle en Roussillon ; parmi les témoins figurent : frères Arnaud de Villagravata, chevalier, Bérenger de Alenya, prêtre, et Pierre Fusterii (calendes d'octobre 1303).

Dès lors, deux commanderies principales se partagèrent le Roussillon : celle de Bajoles à laquelle Charles-Quint accorda une charte spéciale de protection en 1545, et celle du Mas-Deu qui fut toujours en définitive la première. Soigneusement fortifié et vaillamment défendu par les chevaliers Pierre d'Oms et Pierre Arnaud de Peirestortes, fidèles au roi de Marjorqne quand Pierre d'Aragon envahit le Roussillon et en déposséda son faible ennemi, le Mas-Deu résista jusqu'à ce que le grand prieur de Catalogue en eût enlevé les deux défenseurs pour le faire rendre aux Aragonnais. Palau, Saint-Hippolyte et les autres châteaux furent abandonnés de même (1343). Depuis cette époque il y a peu à dire sur les annales des chevaliers de Saint-Jean en Roussillon; ils firent fréquemment confirmer les larges privilèges antérieurement concédés au Mas-Deu, notamment en 1348, par le roi Pierre d'Aragon ; en 1407, par le roi Ferdinand ; en 1537, par l'Archevêque de Saragosse, lieutenant-général en Catalogne, Roussillon et Cerdagne ; l'année suivante, par le roi Philippe ; en 1586, par D. Manrique de Lara, également lieutenant-général dans ces provinces ; enfin, en 1574, pour les principales dépendances de la commanderie, Saint-Hippolyte, Terratz, Sainte-Colombe, Palau et Anyils. Ils acquirent peu de nouveaux biens ; en 1400 cependant, ils achetèrent à l'abbaye de Ladone ce qu'elle possédait à Terratz; en 1428, un chevalier nommé Bernard Albert avait racheté le village et le château de Saint-Hippolyte, mais l'avait revendu onze ans plus tard à ses anciens propriétaires.

J'enregistrerai, comme dernier document, la confirmation des droits de juridiction accordés sur les biens compris en la charte de décembre 1271, par Louis XIV, au prieur-général de l'ordre de Malte en Roussillon ; cette charte est rédigée en catalan et datée de l'année 1678.
Sources : Edouard de Barthélemy - Etude sur les Etablissements Monastiques du diocèse d'Elne (Perpignan) - Membre de la Société d'archéologie, Inspecteur des monuments de la Meuse - Bulletin Monumental ou Collection de Mémoires et de Renseignements sur la Statistique Monumentale de La France - Paris 1857.

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