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Maisons et Commanderies de l'Ordre du Temple en France

    Département de la Dordogne

    Allemans (24)

    Maison du Temple d'Allemans


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Ribérac - 24


    Maison du Temple d'Allemans
    Maison du Temple d'Allemans


    Domaine Templiers et (Domus Templi), au XIIIe siècle, dont à part l'église fortifiée, et une croix templière sur une vielle maison, il ne reste plus rien.
    Publié sur le site avec l'aimable autorisation des Editions Editions Pilote 24
    Sources: André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002


    Allemans



    Chapelle d'Allemans
    Domaine du Temple d'Allemans


    — Allemans (pouillé, Abbée de Lespine 27).
    — Alemans, 1382 (Abbé de Lespine 31).
    — Allemani, 1360 (Abbé de Lespine 10).
    — Ancien repaire noble mouvant de la châtellenie de Ribérac, au XIVe siècle, depuis ayant haute justice sur Allemans, 1760 (Alm, de Guy. Etat des Juridictions en Guyenne, 1760, imprimé nº40).
    — Vocable Saint-Pierre.
    — Domaine Templier, (Domus Templi)
    — Praeceptor: Bernardus Marquos, il était aussi preceptor de Pontarnaud.
    Mas-Astayrenc (Le), commune d'Allemans.
    — 1228 (terrier de l'O.S.J.)
    — Dépendance de la Maison du Temple d'Allemans.
    Parducie (La), commune d'Allemans.
    — Sobre lo mas de la Parducia, VIIe siècle (terrier, O.S.J.)
    — Membre de la Maison du Temple d'Allemans.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.


    Andrivaux (Les) (24)

    Maison du Temple Les Andrivaux


    Département: Dordogne, Arrondissement et Canton: Périgueux, Commune: Chancelade - 24


    Maison du Temple Les Andrivaux
    Maison du Temple Les Andrivaux


    Dans la banlieue de Périgueux, sur la commune de Chancelade, la commanderie des Andrivaux fut, après Sergeac, la plus importante du Périgord. Fondée en 1139 (onze ans seulement après le concile de Troyes), cette très ancienne commanderie prit rapidement une, grande extension.
    Vers 1150, Izorn, seigneur de Montanceix, lui fit don de la forêt de Lancinade; Bertrand, son fils, offrit des droits de pêche sur l'Isle. Puis, leurs descendants accordèrent aux Templiers les droits de justice « haute, basse, moyenne, mixte et impère. »
    Les Andrivaux tenaient des fiefs et des droits sur les paroisses de La Chapelle-Gonaguet, Biras, Bassac, Mensignac, Saint-Apre, Montagrier, Marsac, Coursac et Manzac.
    De 1298 à 1306, Géraud de Lavernhe, commandeur des Andrivaux, figure comme « Maître de l'Ordre en Périgord. »
    Il figurait parmi les soixante-dix Templiers périgourdins emprisonnés à Domme

    Bien que plusieurs bâtiments aient été modifiés ou rebâtis au 17e siècle, le hameau des Andrivaux nous donne une idée assez exacte de ce qu'était la commanderie. De l'église, aujourd'hui détruite, il ne subsiste que la crypte percée de trois fenêtres, et des débris de colonnettes éparpillés dans le village.

    Merlande



    Chapelle de Merlande
    Domaine du Temple de Merlande


    Elle devait ressembler à la très belle église voisine de Merlande.
    Les Templiers la dédièrent à saint Maurice, les Hospitaliers y ajoutérent le vocable de saint Blaise (curieusement, ces deux saints, un guerrier et un guérisseur, étaient les patrons des bâtisseurs de cathédrales).
    Dans le cimetière voisin, s'élevait une grande Lanterne des morts, détruite au 19e siècle. Près de l'église, le logis du commandeur a conservé d'époque quelques caves, son dallage et une cheminée.
    Non loin, se trouve le pigeonnier. En contrebas, sur le ruisseau de Lapachat, les Templiers avaient édifié un moulin et un étang.

    Maison Chilhaud



    Maison Chilhaud
    Maison Chilhaud


    Parmi les demeures du hameau, on remarquera la belle Maison de Chilhaud avec ses arcades et ses fenêtres à meneaux.
    Sur la façade, des pierres de réemploi portent des rosaces tracées au compas et des crucifix à trois pieds.

    Maison de Chilhaud Blason



    Blason maison d'Andrivaux
    Maison de Chilhaud Blason


    Dans une cave, on découvre un Blason à la triple fleur de lys, qui symbolisait, pour les Templiers: la Foi (le pape), la Sagesse (le roi) et la Chevalerie (le temple). Plus haut, les belles caves du presbytère s'ouvrent d'un souterrain.
    Les Andrivaux avaient pour dépendance l'hôpital de Dourle (commune de Lisle) et la commanderie de Chantegeline (aujourd'hui Chantepoule, sur la commune de Mensignac), qui a conservé son église.
    Certaines archives permettraient toutefois d'attribuer ces biens aux Hospitaliers (respectivement en 1211 et 1175). On peut situer dans le même cas l'hôpital de Combeys (commune de Chantérac), qui existait en 1178, et l'église de Razac.
    En aval, sur l'Isle, dans la banlieue de Mussidan, sur la commune de Saint-Front-de-Pradoux, se trouvait la commanderie templière de Lagut.
    Au nord de Ribérac, un mystère reste à percer: celui de la commanderie de Comberanche. Templière ou hospitalière ?
    Citée dès le 13e siècle, elle dépendait de Condat, commanderie hospitalière à la destruction de l'ordre du Temple.
    Un commandeur hospitalier y est cité à partir de 1232. Mais la présence templière est incontestable, ne serait-ce qu'en raison de très nombreux lieux-dits « Le Temple » (sur la commune de Siorac-de-Ribérac, Chassaignes, Grand-Brassac, Bertric-Burée, Bourg-du-Bost, Verteillac, Saint-Martial-Viveyrol, Cherval, Champagne et La Rochebeaucourt), ainsi que le lieu-dit « L'Epine », à Bouteilles.
    Peut-être faut-il penser que Comberanche était une commanderie hospitalière, et que la commanderie templière se trouvait, 2 km à l'est, à Allemans, parfois citée comme telle, et qui a conservé son église romane.
    En tout cas, les restes de la commanderie que l'on peut visiter à Comberanche ne sont pas templiers, puisqu'ils ne datent que des 15e et 17e siècles. L'église romane, ancienne chapelle de la commanderie, au vocable de saint Jean-Baptiste, a pu, elle, connaître les Chevaliers aux blancs manteaux.
    Chambeuil (commune de Ribérac) et la Feyliet (commune de Bertric-Burée) dépendaient de Comberanche. On ne sait si la Feyliet était une maison ou une commanderie.
    La belle église romane de Saint-Privat-des-Prés d'épendait de la commanderie d'Aubeterre.
    Plus bas sur la Drome, près de la Roche-Chalais, la commanderie de Saint-Michel-de-Rivière dépendit d'Aubeterre, puis de Chantegeline.
    Sources: HIGOUNET-NADAL et LACOMBE 1990. HIGOUNET-NADAL (A.) et LACOMBE (Cl.), « La maison du Consulat à Périgueux. Historique, description et iconographie », Documents d'Archéologie Périgourdine, t. 5, 1990, p. 109-126

    Maison du Temple Les Andrivaux


    Nous lisons dans le « Gallia Christiana » que l'église de Saint-Maurice d'Andrivaux appartenait jadis à des religieuses, dont le couvent fut supprimé à cause des abus qui s'y étaient introduits; en l'année 1139, Geoffroy de Cauze, évêque de Périgueux, voulant appeler les frères du Temple dans son diocèse, leur donna cette paroisse et les établit dans le cloître abandonné. Les archives ne contiennent aucune indication sur cet événement, pas plus que sur les premières années de la nouvelle maison, qui était devenue comme le centre d'où les Templiers rayonnaient sur toute la province du Périgord. Cette lacune nous paraît d'autant plus regrettable que le peu qui nous est parvenu de documents relatifs au XIIIe siècle laisse supposer l'importance de ce que nous avons perdu.

    Quand la suite des actes nous permet de pénétrer dans le passé de cette commanderie, nous la trouvons très florissante et recevant encore de nombreuses marques de la sympathie des seigneurs du voisinage. Une charte d'Archambaud, comte de Périgord, nous apprend qu'au mois de novembre de l'année 1228, le chevalier Bertrand de Geoffroy donna, en présence de ce prince, à Hélie de la Barthe, Maître du Temple en Périgord et à Guillaume de « Traulegâ », précepteur d'Andrivaux, tous ses droits sur le moulin du Chambon. Le comte apposa son sceau au bas du parchemin en présence de frère P. de Bramanson, cellerier d'Andrivaux, d'Hélie de Saumur, de Simon de l'Isle chevaliers.

    Pénétrons, le premier dimanche de Carême de l'année 1240, dans les salles de la commanderie d'Andrivaux; nous y trouvons Raymond Ayz, maître du Temple en Périgord et Ebblon, seigneur de Monteyzey (de Monle-Inciso), occupés à terminer un long différend au sujet des droits du commandeur sur la forêt de Lancinade; ils avaient choisi pour arbitre de leur discussion le noble et puissant homme, Hélie, comte de Périgord. Ce dernier après avoir pris connaissance de la donation faite jadis par le chevalier Izarn de Monteyzey à l'Ordre du Temple de toute sa seigneurie d'Andrivaux et celle qui fut faite plus tard par son fils Bertrand des droits d'usage, de dépaissance, et de pêche sur toutes ses terres, prononce sa sentence, en présence d'une nombreuse assemblée de chevaliers de damoiseaux et de clercs: le Précepteur aura la faculté de prendre dans la forêt de Lancinade tout le bois qui lui sera nécessaire, à la condition d'en avertir à l'avance le seigneur de Monteyzey: celui-ci, pour donner un gage de sa sincère réconciliation, profite de la circonstance pour ratifier solennellement les donations de ses ancêtres; en reconnaissance de quoi, le chevalier Raymond Ayz lui donne douze livres tournois.

    Ce même baron, Ebblon de Saint-Astier, seigneur du château de Monteyzey, assistait, quelques années plus tard, à une importante donation faite au Temple d'Andrivaux. Cinq frères, Pierre, Elie, Gérard, Ebblon et Milon de Saissac et Bertrande leur soeur, pour réparer les dommages que leur père, le chevalier Pierre de Saissac, avait causés à l'Ordre du Temple, faisaient donation de la maison d'Andrivaux de leurs fiefs des « Cortils » situé dans la paroisse de « la chapelle de Gonaguet », en promettant de ne porter dans la suite aucun obstacle à l'accroissement de la population de ce territoire. Pénétré de reconnaissance pour cette libéralité, le chevalier Sicard de la Roque précepteur d'Andrivaux. « donna, autant qu'il dépendait de lui, l'absolution à l'âme du chevalier défunt pour tous les excès dont il s'était rendu coupable envers les Templiers » et remit en outre, séance tenante, aux donateurs la somme de trente-huit livres et dix sols de la monnaie du Périgord. Le chapelain d'Andrivaux Wilhelm de Chastanet, qui avait fourni cette somme, reçut en paiement l'usufruit de ce fief jusqu'à sa mort; après quoi, les Templiers s'engageaient à prélever sur les revenus une rente de vingt sols qui devait subvenir aux frais d'un service anniversaire pour le repos de son âme, plus une pareille rente qu'il pourrait léguer dans son testament à qui il le voudrait. Ebblon de Monteyzey, de la seigneurie duquel relevait ce fief, après avoir donné l'investiture au précepteur et exempté les futurs habitants de toute servitude autre que celle de la réparation des barrières de son château, fit dresser de tout ce qui précède une charte qu'il scella de ses armes, le 11e jour des calendes de décembre 1252, en présence de frère Itier de Périgueux, chevalier du Temple, de son fils Itier de Périgueux, d'Itier Ayz, damoiseau, de frère P. de la Barre et de frère W. de Chastanet, prêtres de l'Ordre.
    Grâce aux facultés accordées par les donateurs et aux dispositions prises par les Templiers, ce territoire ne tarda pas à se peupler et quelques années plus tard nous y voyons construire le petit village de « Chantegéline », annexe d'Andrivaux.

    Dans la suite, Gérard de Chabans, chevalier de l'Isle, donna au Temple le tènement de « Pressegarots » situé sur le territoire de Massignac (jour des Ides de juillet 1276), et dix ans plus tard il entra dans l'Ordre avec son fils, en faisant donation d'une rente de 3 setiers de froment, de 14 sols et d'un banquet, à prendre sur leurs terres (5e jour des calendes de février 1286). Au bas de cette dernière charte fut appendu pour en assurer la validité, le sceau de la cour de Périgord.
    D'autres donations, dont nous ne possédons pas les chartes, ajoutérent à la commanderie les dépendances suivantes:

    Roche-Saint-Paul


    Département: Dordogne, Arrondissement: Nontron, Canton: Jumilhac-le-Grand - 24


    Roche-Saint-Paul - Image Jack Bocar
    Domaine du Temple de Roche-Saint-Paul


    Pontarnaud


    Département: Dordogne, Arrondissement: Nontron, Canton: Mareuil, Commune: Saint-Crépin-de-Richemont - 24


    Domaine du Temple à Pontarnaud
    Domaine du Temple de Pontarnaud


    Puymartin


    Département: Dordogne, Arrondissement: Nontron, Canton: Champagnac-de-Belair - 24


    Chapelle de Puymartin - Image Jack Bocar
    Domaine du Temple de Puymartin


    Chapelle de Puymartin avec son vieux donjon et sa chapelle.

    Le Temple-le-Sec ou Temple Laguyon


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Hautefort, Commune: Cherveix-Cubas - 24


    Temple-le-Sec ou Temple Laguyon
    Temple-le-Sec ou Temple Laguyon


    Ces deux villages voisins, le Temple-le-Sec, où les chevaliers jouissaient de la seigneurie spirituelle, des droits de Viguerie, de taxe sur la viande, le pain et le vin, de leyde et de placage pour les denrées portées au marché les jours de fêtes votives et le Temple de l'Eau (de L'Aygo) ou de Saint-Martial, dans lequel tous ces droits appartenaient aux seigneurs de Hautefort, mais où les vassaux de l'Ordre étaient exempts de guet et de garde au château de leur suzerain.

    Sous les Hospitaliers


    Les Hospitaliers, après avoir reçu cette riche portion des dépouilles des Templiers, lui conservèrent son titre de commanderie, et lui adjoignirent diverses possessions qu'ils avaient eux-mêmes dans la partie du Périgord située sur la rive droite de l'Isle, telles que Saint-Jean d'Excideuil.

    Bientôt après, ils s'occupérent à régler certaines difficultés qui avaient surgi entre eux et les habitants d'Andrivaux. Une charte concédée par le commandeur en 1325, fixait à 9 charges de froment, 3 d'avoine, 6 livres de la monnaie courante les redevances annuelles qu'il exigeait de ses vassaux. En 1467 les chevaliers concédèrent aux habitants de la Roche-Saint-Paul le droit de dépaissance dans leurs bois moyennant une rente annuelle de deux deniers.

    Nous trouvons vers la fin du XVe siècle le commandeur interposant son autorité pour protéger ses vassaux du Temple de Layguo contre les vexations des seigneurs du voisinage, qui, malgré les privilèges concédés par les rois de France et ceux d'Angleterre, voulaient les forcer à venir porter leurs blés à leurs propres moulins (1487).

    Quelques années après, Archambaut de Bourdeille, seigneur de Monteyzey, disputait aux hospitaliers la haute juridiction d'Andrivaux; mais, comme il ne pouvait guère alléguer, pour soutenir ses prétentions, autre chose que son envie de revenir sur la donation faite par les anciens seigneurs de Monteyzey, les chevaliers de Saint-Jean n'eurent pas de peine à déjouer ses efforts. Après ce procès, les chanoines de Saint-Astier vinrent à leur tour disputer la haute justice du lieu de Chantegéline, tentative qui n'eût pas un meilleur résultat que la précédente(1526).

    Dès la première moitié du XV siècle, la commanderie d'Andrivaux avait été réunie à celle de Condat. A partir de cette époque, l'histoire de cet ancien établissement des Templiers perd tout caractère et ne nous offre rien de particulier à signaler.
    Sources: Grand-Prieuré de Toulouse, M.A. Du Bourg (1883)

    Maison du Temple Les Andrivaux


    — Préceptorie de l'Ordre du Temple, puis membre de la commanderie de Condat (O.S.J. de Jérusalem), avec haute justice sur Andrivaux.
    — Gerardus de Vernhia interdum nomine « Preceptoris domus de Andrivalle et aliarum domorum milicie Templi in Petragoricensi diocesis » insigniebatur, et etiam « preceptoris domus Andrivalle »
    Domus enim illa Petracoricensis balliviae caput erat Praecptores ejus dicuntur:
    G. de Traulega - 1228.
    B. Blanc - 1235.
    Petrus de Petragoris vers 1245.
    P. Donaderi (Voyer Finck, II page 318) - 1250.
    Sicardus de la Rocha 1252.

    Andrivaux (Les)


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Neuvic - 24
    — Hameau commune de Beauronne.
    — Sanctus Mauritius de Andro Vallo, 1142 (Gall. Ch. Eccl. Petrag.)
    — Andrivals, 1295 (testament d'Archives 3).
    — Androvalles, 1361 (Lesp. Châtellenie)
    — Andrivalles, 1450 (O.S.J.)
    — Vocable Saint-Blaise.

    Andrivaux


    Département: Dordogne, Arrondissement et Canton: Périgueux - 24
    — Hameau, commune de Coulounieix-Chamiers.
    — Andrivalia, 1395 (Lespine Hommages au comte de Périgord)
    — Les Templiers avaient des biens dans ce hameau, en trautre un maladrerie.
    Alayze ?
    — Bordaria Alayzencha, 1223 (O.S.J.)
    — Dépendance de la Maison du Temple des Andrivaux.

    Le Chambon


    Département: Dordogne, Arrondissement et Canton: Périgueux, commune: Marsac-sur-l'Isle - 24


    Domaine du Temple à Le Chambon
    Domaine du Temple à Le Chambon


    — Dépendait de la Maison du Temple des Andrivaux (O.S.J.)


    Courty


    Département: Dordogne, Arrondissement: Bergerac, Canton: Pays de Montaigne et Gurson, commune: Montcaret - 24


    Domaine du Temple à Courty
    Domaine du Temple à Courty


    — Bordaria deuz Courtils, 13.. (O.S.J. Andrivaux)

    Gonaguet


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Saint-Astier, Commune:la Chapelle-Gonaguet - 24


    Domaine du Temple à La Chapelle-Gonaguet
    Domaine du Temple à La Chapelle-Gonaguet


    — Bordaria deux Cortils sive d'Agonaguet, 1252 (O.S.J.)
    — Dépendant de la Maison du Temple des Andrivaux.

    Lansinade


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Saint-Astier - 24


    Domaine du Temple à Lansinade
    Domaine du Temple à Lansinade


    — Bosc Dancinada, 1322 (cartulaire de Chancelade).
    — La forêt de Lancinade, d'abord partagée entre l'abbaye de Chancelade et la commanderie d'Andrivaux, appartiendra tout entière à l'abbaye en 1775 (O.S.J.)
    — Membre de la Maison du Temple des Andrivaux.
    Commune: la Chapelle-Gonaguet (Atlas du Périgord par Belleyme)

    Maillol


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Hautefort, Commune: Cherveix-Cubas - 24


    Domaine du Temple à Maillol
    Domaine du Temple à Maillol


    — Maynamentum (Mainement), ferme de Maillol, 1450 (O.S.J.)
    — Maison du Temple des Andrivaux.

    La Peyre


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Thenon - 24


    Domaine du Temple à La Peyre
    Domaine du Temple à La Peyre


    — Dépendance de la Maison du Temple d'Andrivaux (O.S.J.)

    Pont d'Anglars


    Il y a trois Les Anglards, je ne sais lequel est le bon
    Département: Dordogne, Arrondissement et Canton: Sarlat-la-Canéda, Commune: Proissans - 24
    Département: Dordogne, Arrondissement: Sarlat-la-Canéda, Canton: Terrasson-Lavilledieu, Commune: La Feuillade - 24
    Département: Dordogne, Arrondissement: Nontron, Canton: Isle-Loue-Auvézère, Commune: Payzac - 24

    — Iter quo itur de ponte d'Anglars versus la Saumaria, 1489 (O.S.J.)
    — Dépendance de la Maison du Temple des Andrivaux.

    Puy-des-Vignes


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Ribérac, Commune: Saint-Martial-Viveyrol - 24


    Domaine du Temple au Puy-des-Vignes
    Domaine du Temple au Puy-des-Vignes


    — Ténement dépendance d'Andrivaux (O.S.J.)
    — Ténement dépendance de la Maison du Temple des Andrivaux.

    Saint-Avit-de-Fumadière


    Département: Dordogne, Arrondissement: Bergerac, Canton: Pays de Montaigne et Gurson - 24


    Domaine du Temple à Saint-Avit
    Domaine du Temple à Saint-Avit


    Hameau et moulin commune de Bonneville-et-Saint-Avit-de-Fumadiéres.
    — Praeceptoria Sancti Aviti de Fumaderiis, 1372 (O.S.J.)
    — A l'origine c'était une Maison du Temple.
    — Les Hospitaliers ont remplacés les Templiers.
    — Elle était une dépendance de la Maison du Temple des Andrivaux.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.


    Angoisse (24)

    Maison du Temple d'Angoisse


    Département: Dordogne, Arrondissement: Nontron, Canton: Lanouaille - 24


    Maison du Temple d'Angoisse
    Maison du Temple d'Angoisse


    Angoisse


    — Commune du canton de Nouaille.
    — Engoischa (pouillé du XIIIe siècle.
    — Angoycha, 1365 (Lesp. Châtellenie).
    — Hospital d'Angouisse, 1560 (archives de l'O.S.J. Condat).
    Sources: Dictionnaire Topographique du département de la Dordogne. Par M. Le Vicomte de Gourgues. Paris Imprimerie Nationale, M. DCCC. LXXIII
    Hôpital ou Maison du Temple (Heypital), elle a donnée naissance au village qui porte le nom d'Hépital.
    — Les Templiers achetèrent ou reçurent le domaine du Bouchet, une forteresse avec un donjon muni de quatre trourelles crénelées de machicoulis, avec fossés en eau, alimenté par un ruisseau qui se jette dans la Loue.

    Château-Bouchet



    Château Bouchet - Image Jack Bocar
    Domaine du Temple Château-Bouchet


    — Cette forteresse de Château-Bouchet, dépendait de la Maison du Temple de Saint-Paul-de-Roche.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.


    Ans (24)

    Maison du Temple d'Ans


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Thenon, Commune: La Boissière-d'Ans - 24


    Maison du temple d'Ans
    Maison du temple d'Ans


    — 1243 - hommage à l'évêché d'Angoulême.
    — Capella d'Ans pouillé du XIIIe siècle.
    — Ancienne châtellenie s'étandant au XIVe siècle sur 18 paroisses dont une « Le Temple »
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.


    Bonnefare (St-Michel-de-Montaigne) (24)

    Domaine du Temple de Bonnefare et Saint-Michel-de-Montaigne
    Département: Dordogne, Arrondissement: Bergerac, Canton: Vélines - 24


    Biens du Temple à Saint-Michel-de-Montaigne
    Domaine du Temple Bonnefare et Saint-Michel-de-Montaigne


    Bonnefare-et-Saint-Michel
    — Bonefare, 1306 (terrier de Monravel, 288).
    — Bonafara, 1373 (Lespine, Ordre de Saint-Jean)
    — L'Hospital de Bonnefare, 1604 (terrier de Monravel, 5).
    — Commanderie des Templiers et ensuite de l'Ordre de Saint-Jean.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.

    Bonnefare ou Saint-Michel-de-Montaigne
    Commune de Saint-Michel-de-Montaigne, 40 km à l'ouest de Bergerac.

    Eglise de Saint-Michel de Montaigne


    Eglise de Saint-Michel de Montaigne
    Eglise de Saint-Michel de Montaigne, image Jack Bocar


    L'église romane (Monuments Historique) au portail à voussures et l'abside en cul-de-four appartenait à la commanderie du Temple au XIIe siècle. Cette commanderie reçut l'archevêque de Bordeaux, Bertrand de Got, le futur pape Clément V, venu en voisin du château épiscopal de Lamothe-Montravel, lors de sa visite du Périgord (1er septembre 1304).

    Eglise de Saint-Michel de Montaigne


    Eglise de Saint-Michel de Montaigne, image Jack Bocar
    Eglise de Saint-Michel de Montaigne, image Jack Bocar


    Reprise par les hospitaliers en 1321, le commandeur Hugues de Caylus, seigneur spirituel de cette localité et de celle voisine de Saint-Avit de Fumadiére, était tenu à l'hommage envers l'archevêque de Bordeaux. Les commandeurs suivants eurent souvent des démêlés avec les archevêques qui faisaient saisir les fruits du domaine pour ne s'être pas acquitté, dans le délai voulu, de l'hommage auquel ils étaient obligés. (1634, Arch. de Saint-Avit).

    Eglise de Saint-Michel de Montaigne


    Eglise de Saint-Michel de Montaigne, image Jack Bocar
    Eglise de Saint-Michel de Montaigne, image Jack Bocar


    Au XVIIIe siècle, nous relevons pour Bonnefare (Archives de la Dordogne, 78 H 1) diverses reconnaissances au profit du commandeur Chenevier de l'ordre souverain de Malte.
    1. — le 8 novembre 1754, Jean Metivier avocat au parlement reconnaît en faveur de M. le commandeur de Bonnefare, le tènement entre le chemin du moulin de Bracaut à Bonnefare et du Bracaut au petit moulin, et contigu au ruisseau de la fontaine de Saint-Michel, consistant en une grange parquière, parc à brebis, maison, four, jardin, paccage et terre labourable, puits, vigne avec ornière.
    2. — le 10 novembre 1754, le tènement nº 21 en terres labourables, attenant au tènement de Poinbazet, fief de M. l'archevêque. Le tènement nº 20 de Saint-Macou, en terres labourables.
    3. — le 11 novembre 1754, le tènement de Tourneau, le long du ruisseau la Lidoire, en terres.
    4. — le 25 août 1756, M. Antoine de Grailly, chevalier, seigneur de Saint-Avit, reconnoit à M. le commandeur de Bonnefare, commandeur Chenevier, le tènement de Manées, consistant en maison, grange, four, atelier et autres bâtiments. Le clos nº 14 attenant au fief de M. l'archevêque. L'ancien moulin de Saint-Avit. Le tènement de Valladoux en terres labourables, attenant au tènement des Valladoux ou Blois, fief de M. l'archevêque. Egalement tènement nº13 appelé le verger.
    5. — 26 août 1756, M. Rocq-Abraham Dufour, avocat et de Jean Metivier reconnoissent au commandeur, le tènement des Bertinsoumassiot et également le tènement de Serres. Le tènement entre le chemin de l'église de Saint-Avit à Bonneville et chemin de Saint-Claud à Saint-Vivien.
    6. — 11 juillet 1757, reconnoissance du tènement de Lafont du Queyret.
    Publié sur le site avec l'aimable autorisation des Editions Editions Pilote 24 - Sources: André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002

    Bonnefare
    Département: Dordogne, Arrondissement: Bergerac, Commune: Bonneville-et-Saint-Avit-de-Fumadières - 24
    Saint-Paxans. Le 60, porte que ledit seigneur se seroit transporté le premier de septembre au prieuré Saint-Paxans (40) et entré au diocèse de Périgord,
    et en icelluy annonce la parole de Dieu au peuple et y fait tous actes requis au droit de visite, et après, estre allé à Bonnefaire, maison des Templiers
    dudit diocèse de Périgord, où auroit séjourné jusques au lendemain avecq son train, aux despens du prieur dudit Saint-Paxans. (page 312)
    40. Saint-Paixent, hameau de Lamothe-Montravel, canton de Vélines, arrondissement de Bergerac (Dordogne).

    Bonnefare
    Montcaret. Le 61, porte que ledit seigneur seroit allé au prieuré de Montquaret (41), audit diocèse, y annonce la parole de Dieu et fait autres actes de
    visite, et après s'estre transporté audit lieu de Bonnefaire, en la maison des susdits Templiers, aux despens dudit prieur de Montcaret. (page 312)
    41. canton de Vélines.

    Bonnefare
    Département: Dordogne, Arrondissement: Bergerac, Commune: Bonneville-et-Saint-Avit-de-Fumadières - 24
    Les arches en bel appareil sont les seuls vestiges d'un moulin bâti par les Templiers sur la Lidoire.
    L'église Saint-Jean-Baptiste-de-Bonneville. De fondation romane, elle appartint aux hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem et relevait de la commanderie de Condat. Dévastée lors des guerres de religion, elle a conservé ses murs des XIe et XIIe siècles et ses restaurations du XVe siècle. La façade s'orne d'un portail Renaissance. La cloche est datée de 1699.
    Sources : Lépicier, Jules. Archives historiques du département de la Gironde, tome XXIII. Bordeaux M. DCCC. LXXXIII. - BNF


    Bonneville (24)

    Maison du Temple de Bonneville
    Département: Dordogne, Arrondissement: Bergerac, Canton: Vélines, Commune: Bonneville-et-Saint-Avit-de-Fumadières - 24


    Maison du Temple de Bonneville
    Maison du Temple de Bonneville


    Bonneville-Saint-Avit-de-Fumadière
    — Praeceptoria Sancti Aviti de Fumaderiis, 1372 (O.S.J.)
    — A l'origine c'était une Maison du Temple.
    — Les Hospitaliers ont remplacés les Templiers.
    — La Maison de Bonneville était une dépendance de la Maison du Temple des Andrivaux.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.

    Bonneville et Saint-Avit de Fumadières
    Commune du canton de Vélines, à 4 km. Au nord de Vélines. « Bonavila - Sent Avit de Fumadieras » (Occitan)
    Les Hospitaliers de Saint-Jean ont complètement construit leur commanderie avec les pierres de l'ancienne Maison du Temple. Il ne reste aucun vestiges des Templiers.
    Cette Maison de Bonneville est citée en ces lieux, elle était jumelée à Bonnefare et fut réunie au XVIe siècle à Condat-sur-Vézère avec bénéfice à la collation du commandeur de Condat.

    Les restes de la commanderie sont composés de deux bâtiments dont un comporte une croix de Malte. « Praeceptoria Aviti de Fumaderiis » en 1372 dépendait à l'origine et sous les Templiers à la Maison des Andrivaux. L'église romane en partie (murs) était à la vocation de Saint-Jean, Ecclesia Sancti Johannis de Bona Villa (Pouillé, Lespine vol. 7).

    Pendant les années 1586, 1587, les huguenots dévastèrent la commanderie, brûlant les villages, massacrant les habitants, saccageant les récoltes. Le commandeur de Condat André de Puylobrier en aurait appelé à Jean de la Valette Cornusson, sénéchal de Toulouse, le 14 mars 1588. Il demanda un dégrèvement de l'impôt du clergé, pour Condat dont les établissements régionaux furent dévastés par les garnisons de Castillon, Bergerac et Sainte-Foy-la-Grande.
    Sources: André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002


    Bourdeille (24)

    Prison des Templiers de Bourdeille
    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Brantôme - 24


    Château de Bourdeille
    Château de Bourdeille


    Je ne pense pas que les Templiers aient eu des biens dans cette commune, il est cité uniquement pour nous rappeler que dans ce donjon des Templiers y furent incarcérés, torturés et pour certains d'entre eux tués.


    Buzet (24)

    Maison du Temple de Buzet


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Montpon-Ménestérol, Commune: Menesplet - 24


    Maison du Temple de Buzet
    Maison du Temple de Buzet


    Le Buzet


    — Hameau, commune de Menesplet.
    — Sur les bords de l'Isle, les Templiers avaient une Maison au XIIIe qui devint une dépendante de la Maison de Bonnefare sous les Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem.
    — Hospitalis de Buzès, 1350 (Abbé de Lespine 10).
    — Bozés, 1308 (Abbé de Lespine Hommages)
    — Buszès, 1373 (Abbé de Lespine O.S.J - Lettre de Grégoire XI)
    — Commanderie de l'Ordre de Saint-Jean.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.


    Cassagne (La) (24)

    Grange du Temple de La Cassagne


    Département: Dordogne, Arrondissement: Sarlat-la-Canéda, Canton: Salignac-Eyvigues, Commune: Archignac - 24


    Grange du Temple de La Cassagne
    Grange du Temple de La Cassagne


    La Cassagne


    commune, canton de Terrasson
    — La Cassaigne, 1251 (Justel. Raym. G)
    — Cassanea, 1320 (Abbé de Lespine 37)
    — Castrum de la Cassanha, 1365 (Lespine 88, Châtellenie)
    — Cassanhe, 1367 (Lespine 88, Châtellenie)
    — Cassajpa, 1554 (panc. de l'évêché)
    — Prieuré dépendant de l'abbaye de Saint-Amand-de-Coly.
    — Patron: saint Barthélémy.
    — Paroisse hors châtellenie au XIVe siècle.
    — Ancien repaire noble ayant haute justice sur la paroisse 1760 (Alm de Guy, Etat des Juridictions en Guyenne, 1760, imprimé nº40)
    — La commune aurait appartenu aux Templiers.
    — Il restes les ruines d'une forteresse au lieu-dit « Le Château »
    — Il y a une église avec un cœur roman.

    Eglise du prieuré



    église du prieuré, image Jack Bocar
    église du prieuré, image Jack Bocar


    La Cassagne



    La grange de la Cassagne est en partie une habitaion privée
    Grange du Temple de La Cassagne
    Grange du Temple de La Cassagne


    La Cassagne, lieut-dit Le Temple



    Grange dimière, image Jack Bocar
    Grange dimière, image Jack Bocar


    — Il existe un grange dimière, elle appartenait aux Templiers. Elle montre encore une architecture rurale de XIIIe et XIVe siècle.
    — Elle a été très remaniée, et est de nos jour une habitation privée.

    Saint-Amand-de-Coly


    commune, canton de Montignac
    — Sanctus Amandus prope Montinhacum, 1364 (Lespine, Châtellenie).
    — Ancienne abbaye, ordre de Saint-Augustin, de nomination royale.
    — Bénéfices qui en dépendaient: Archignac, Aubas, Brenac, la Cassagne, Coly, Marcillac, Nadaillac, Peyzac, Saint-Geniez, Saint-Lazare, Saint-Pierre-de-Montignac, Salignac, Thenon, Thonac et Vitrac, 1411 (Lespine 37)
    — Patron: saint Amand.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.

    La Cassagne, lieut-dit Le Temple



    grange dimière, image Jack Bocar
    Grange dimière


    — Cette partie de la grange était une salle d'exposition.
    — La massive grange à dîmes de la Cassagne est, paraît-il née dans le giron Templiers. La salle basse remonte au XIIIe siècle; sa cheminée d'angle témoigne d'une forge. Un large escalier à vis conduit aux niveaux supérieurs, le premier étage ayant connu une transformation au XVIe siècle. Ce bâtiment rural a de belles proportions. Il accueillait une collection des caricatures de la Belle Epoque signées du périgourdin Georges Goursat - plus connu sous le nom de Sem - entre 1884 et 1934.
    Sources: Le petit futé 2009-2010 sur la Dordogne, conseil général de la Dordogne.


    Chantepoule (24)

    Chante-Géline ou Chantepoule


    commanderie Hospitalière de Chante-Géline ou Chantepoule
    Chante-Geline, village secteur de la commune de Mensignac.
    — Cantus Gelinae, 1373 (Abbé de Lespine, manuscrit nº1, O.S.J.)
    — Cantus Gallinae, 1365 (Abbé de Lespine).
    — Chante-Poule (Cadastre).
    — Maison donnée par G. de Fayolle aux Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem en 1175 et qui devint une commanderie de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.


    Chateau-Bouchet (24)

    Domaine du Temple Château-Bouchet


    Département: Dordogne, Arrondissement: Nontron, Canton: Lanouaille, Commune: Angoisse - 24


    Domaine du Temple Château-Bouchet
    Domaine du Temple Château-Bouchet


    Les Templiers possédaient la forteresse de Château-Bouchet, dont il ne reste qu'une tour munie d'une porte qui avait un pont-levis. Le haut de la tour maintenant couvert d'un toit ardoisé était terminé par quatre petites tourelles d'angle.

    Château Bouchet



    Château Bouchet - Image Jack Bocar
    Château Bouchet - Image Jack Bocar


    Hôpital ou Maison du Temple (Heypital), a donnée naissance au village qui porte le nom d'Hépital.

    Château Bouchet



    Château Bouchet, l'Hépital
    Château Bouchet, l'Hépital


    registre,Les Templiers achetèrent ou reçurent le domaine du Bouchet, une forteresse avec un donjon muni de quatre trourelles crénelées de machicoulis, avec fossés en eau, alimenté par un ruisseau qui se jette dans la Loue.
    registre,Cette forteresse de Château-Bouchet, dépendait de la Maison du Temple de Saint-Paul-de-Roche.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.


    Cherval (24)

    Domaine du Temple de Cherval


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Verteillac, Commune: La Chapelle-Grésignac - 24


    Domaine du Temple de Cherval
    Domaine du Temple de Cherval


    — La belle église romane fortifiée de Cherval, vocation Saint-Martin (Monument historique), ainsi que le village étaient une dépendance de la commanderie templière du Soulet, dont le dernier commandeur connu en 1301, était Ysard de Chaussada.

    — L'église rectangulaire à quatre travées, construite à la fin du XI siècle, fut voûtée avec quatre coupoles sur pendentifs et fortifiée par les templiers au XIIe siècle et les hospitaliers au XIVe siècle.
    — On ne trouve plus l'emplacement de la commanderie templière.

    Cherval



    Domaine du Temple de Cherval
    Domaine du Temple de Cherval


    Balobelia, commune de Cherval.
    — Maynamentum (Mainement), vocable Baloberie in loro lou pony de Charcard, 1463 (archives de l'O.S.J.)
    — Terrier de la Maison du Temple de Soulet.
    Charmandeys, lieu-dit sur la commune de Cherval.
    — Termin. Vocable de Charmandeys, 1464 (O.S.J.)
    — Terrier de la Maison du Temple de Soulet.
    Jarrige (La), (hameau ou lieu-dit), commune de Cherval.
    — Maynamentum (Mainement) de la Jarriga (O.S.J.)
    — Terrier de la Maison du Temple de Soulet.
    Seguenie (La), commune de Cherval.
    — Maynamentum (Mainement) de la Seguynia, 1464 (O.S.J.)
    — Terrier de la Maison du Temple de Soulet.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.
    Maison du Temple de Cherval
    Sous les hospitaliers les remplacèrent ils obtinrent les dépendances suivantes:
    Paleterbe, commune de Cherval.
    — Maynamentum (Mainement) de Paleterra, 1454 (O.S.J.)
    — La Peyrieras Locus vocable.
    — En las Peyrieras de Mal-Rival 1454 (OSJ Soulet).
    — Membre de la commanderie du Temple de Soulet.
    Charouffie (La), commune de Cherval.
    — Maynamentum (Mainement) de la Charrofie, 1463 (O.S.J.)
    — Terrier de la commanderie du Temple de Soulet.
    Salajouie (hameau ou lieu-dit), commune de Cherval.
    — Maynamentum (Mainement) de la Salajouya, 1463 (O.S.J.)
    — Terrier de la commanderie du Temple de Soulet.
    Salvamie (hameau ou lieu-dit), commune de Cherval.
    — Maynamentum (Mainement) de la Salvamia, 1463 (O.S.J. Terrier de Soulet)
    — Membre de la commanderie du Temple de Soulet.
    Demarie (La), commune de Cherval.
    — Maynamentum (Mainement) de la Deymaria, 1464 (O.S.J.)
    — Las Deymarias, XVIIe siècle (O.S.J.)
    — Terrier de la commanderie du Temple de Soulet.
    Peyrieras (La), commune de Cherval.
    — Locus vocable en las Peyrieras de Mal-Rival, 1454 (O.S.J.)
    — Membre de la commanderie du Temple de Soulet.
    Saint-Sicaire, commune de Cherval.
    — Burgarde sancti Sicarii de Charvallo, 1490 (O.S.J.)
    — Terrier de la commanderie du Temple de Soulet.
    Pont Saint-Martin, commune de Cherval.
    — Iter de Charvard versus pontem seniorem Sancti Martini, 1463 (O.S.J.)
    — Passage de Charvendo vers le pont du seigneur Saint-Martin.
    Sauvanie
    — Lieu « la Sauvanie », où la Sauvanie prend sa source.
    — Las Salvanhas, XVIe siècle (OSJ)
    Jaboys (Les), domaine commune de Cherval.
    — La Croix-Panche, XVIIe siècle (O.S.J.)
    — Dépendant de la commanderie du Temple de Soulet.
    Sources: André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002
    Chaussade (Ysard de, Ysardus de Chaussada)
    Appelé aussi ysardus Petragoricense diocesis.
    [1291-1301];
    Sergent, commandeur du Soulet en 1301.
    Peut-être vivant en 1311;
    Est cité comme étant présent en 1291 à la maison du Temple de Folhas (Le Fouilloux, Charente) à la réception de Hugo de Jansac;
    Roger Sève, Anne-Marie Chagny-Sève, page 292

    Quo facto, dictus frater Hugo de Jansac, quadragenarius vel circa, qui mantellum voluntarie dimiserat et radi fecerat sibi barbam, cum quo inquisitum fuerat, absolutus et reconciliatus per dominum episcopum Claromontensem, lectis et diligenter expositis sibi omnibus et singulis articulis, respondit se nescire, nec credere, nec audivisse dici de contentis in eis nisi quod sequitur videlicet quod ipse receptus fuerat per fratrem Petrum de Madito militem quondam, in capella domus Templi de Folhos diocesis Xantonensis, circa medium Augustum instantem erunt XX anni, presentibus fratribus Ysarno de Petragoricinio serviente, domus Templi de Bilda Petragoricinio, cujus cognomen ignorat, Stephano de Monte Acuto Claramontensis diocesis, quos crédit vivere Guillelmo Pictavini preceptore de Castro Bernardi, et Roberto Guideti servientibus, deffunctis.
    Michelet, Procès des Templiers, tome II, page 234
    Sources: Roger Sève et Anne-Marie Chagny-Sève — Le Procès des Templiers d'Auvergne, 1309-1311. Editions du Comité des Travaux Historiques et Scientifiques. Paris 1986

    Yzarnus de Chaussada


    — Præceptor domus Templi de Soloreto.
    — Soloreto = Le Soulet: Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Verteillac, Commune: Gout-Rossignol - 24
    Sources: E.-G. Léonard. - Introduction au Cartulaire manuscrit du Temple (1150-1317), constitué par le marquis d'Albon et conservé à la Bibliothèque nationale, suivie d'un Tableau des maisons françaises du Temple et de leurs précepteurs. - Paris, E. Champion, 1930. ln-8, xv-259 pages.


    Commarque (24)

    Château de Commarque


    Département: Dordogne, Arrondissement: Sarlat-la-Canéda, Canton: Saint-Cyprien, Commune: Eyzies-de-Tayac-Sireuil - 24


    Château de Commarque
    Château de Commarque


    Le Château de Commarque sur la commune de Sireuil (aujourd'hui: Les Eyzies-de-Tayac-Sireuil) à 7 km à l'est des Eyzies.
    Sur la rive gauche de la Beune, à quatre kilomètres à l'est de Sireuil, à l'orée d'une forêt, se dresse l'imposante forteresse de Commarque, dont le superbe donjon est resté planté vers le ciel, bravant les guerres et les siècles.

    Château de Commarque



    Château de Commarque
    Château de Commarque - image Internet


    Gérard de Commarque partant pour les croisades, fait don de son château aux Templiers (Wlgrin de Taillefer et X. de Monteil) ou aux hospitaliers suivant d'autres sources qui indiquent: Hospitalis de Comarco, 1116, ancien repaire noble donné au XIIe siècle aux hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean, qui élevèrent le donjon (De Gourgues). Le dessin ci-joint de X. de Monteil exécuté en 1886, représente ce qui restait du château, vu de la vallée.
    Sources: André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002


    Coulounieix-Chamiers (24)

    La Templerie de Coulounieix


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Périgueux-Ouest - 24


    La Templerie de Coulounieix
    La Templerie de Coulounieix


    — Au XIIe siècle, les Templiers avaient installé une maladrerie, annexe des Andrivaux, « La Templie. » Elle était proche d'Ecorne-boeuf, le coteau ou se dressait les fourches patibulaires de Périgueux. « Furchae descornabus. » (Abbé de Lespine, état de 1365)
    Sources: André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002


    Domme (24)

    Prison des Templiers de Domme


    Département: Dordogne, Arrondissement: Sarlat-la-Canéda, Domme chef-lieu de Canton - 24


    Prison des Templiers de Domme
    Prison des Templiers de Domme


    Les Templiers du Pérogord, y furent incarcérés durant tout le procès. Dans ces geôles, les Templiers étaient pour la plus part des prêtres, des soldats et des sergents du Temple. IL n'y a pas eu d'après les listes des prisonniers de chevaliers Templiers. Vous pouvez aller voir la liste des Frères du Temple emprisonnés à Domme

    Nous pouvons y voir des représentations du Graal, des crucifix, des étoiles à huit branches, des Christs en croix, et pour un ou deux la représentation du pape Clément V et celle du roi Philippe le Bel. Vous pouvez aller voir la page des textes sur les graffiti de Domme.

    La porte des Tours



    La porte des Tours
    La porte des Tours, prison des Templiers


    Si vous voulez avoir un aperçu complet des textes du Chanoine Tonnellier, je crois que chez Archéologia, la revue sur les graffiti est encore disponible.
    Jack Bocar


    Dourles (24)

    Domaine du Temple de Dourles


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Brantôme, Commune: Lisle - 24


    Domaine du Temple de Dourle
    Domaine du Temple de Dourle


    Dourles


    — Hospitale, 1211 (cartulaire de Chancelade)
    — Parochia de Dorla, 1332 (O.S.J.)
    — Maison de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem, annexe d'Andrivaux.
    — La paroisse de Dourle était ainsi que celle d'Andrivaux, hors châtellenie (Etat de 1365, Abbé de Lespine 88)
    En 1373 c'est le percepteur d'Andrivaux Jean de Marquefaye servant, 35 ans qui est responsable de Dourle aidé du chapelain Guillaume Audouin. « Vialim inferiis Continelus primo enim eum domo de Dorla fui annex cujus et praeceptor frater Arnalduf Johannes de Marcafata frater serviens natif 35 annorum com frater Guill Auloynipbro »
    A l'origine, ce domaine était une annexe ou un membre de la Maison du Temple des Andrivaux.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.


    Douville (24)

    Maison du Temple de Douville


    Département: Dordogne, Arrondissement: Bergerac, Canton: Villamblard - 24


    Maison du Temple de Dourville
    Maison du Temple de Douville


    Commune à 15 km au nord-est de Bergerac. Douvilla pouillé du XIIIe siècle, Douvila (Oc).
    De l'hôpital de la Sauvetat-Grasset des Templiers, (La Salvitas-Grassetti, Ordini milici Templi, - Grégoire X Tecaldo Visconti- pape, 1273).
    Il ne reste qu'un château en ruines et sur un coteau la petite chapelle avec un clocher-pignon, dont l'allée qui y conduit est bordée par endroits de dalles funéraires, certaines, sous les ronces sont gravées de la croix templière.

    Du temps d'occupation des hospitaliers on relève


    — Dosvila 1382.
    — Dougnou (le) tènement dépendant de la commanderie de Sauvetat-Grasset 1489, « Le damphou » (OSj).
    — Pré de l'Hôpital 1489, (OSJ).
    — Jouanade (la) « Lo puech de la Joanada. »
    — Lenteyrie (la) lieu dit, 1489 (OSJ).
    — Megie (la) 1489 (OSJ).
    — Peze (la) 1489 (OSJ).
    — Reynie (la) 1489 (OSJ).
    — Preceptoria de Salvagnas 1489, (OSJ).
    — Sainte Angéline « Sancta Angelina, annexa Sancti Joh. de Dovila » 1526 (OSJ). Vicaria S. Johannis de Dovillo cum ejus annexa Sancta Angelina 1562 (OSJ), (Condat lettre à l'évêque de Périgueux pour la nomination, à cette cure)
    Voc. Saint-Front et Saint-Fiacre, collation l'Ordre de Saint-Jean et l'abbé de Cadouin.
    — Vigerie (la) « La Vigueria », 1650 (OSJ).
    — Caudeville, « Cauda Vaiata », ancienne grange de l'abbé de Cadouin, dont le droit fut disputé par l'ordre de Saint-Jean.
    Publié sur le site avec l'aimable autorisation des Editions Editions Pilote 24
    Sources: André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002 et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002

    Douville


    — Douvilla (pouillé du XIIIe siècle)
    — Dosvila, 1382 (P. V. M.)
    — Vicaria Saint Johannis de Douillo cum ejus annexa Sanctae Angelinae, 1526 (O.S.J Condat)
    — Lettre à l'évêque de Périgueux pour la nomination à cette cure.
    — Vocable Saint-Front et Saint-Fiacre.
    — Collation O.S.J. et l'abbé de Cadouin.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.


    Excideuil (24)

    Chapelle Templière d'Excideuil


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Excideuil - 24


    Chapelle Templière d'Excideuil
    Chapelle Templière d'Excideuil


    A Excideuil, les Templiers du Temple Laguyon, possédaient une chapelle près du pont. Elle avait pour vocable Saint-Jean « capella Sancti Johannis de la Reclusa »

    Il y avait aussi à Excideuil, une commanderie de l'Ordre de Saint-Antoine, dépendant de l'évêché d'Uzerche au XIIIe siècle, elle passa aux Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem sous la direction de la commanderie de Condat en 1481.

    La chapelle Saint-Jean ruinée près du pont d'Exideuil.
    — Capella Sancti Johannis de la Reclusa, 1490 (O.S.J.)
    — Dépendant de la Maison du Temple de la Guyon.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.


    Jumillac-le-Petit (24)

    Domaine du Temple de Jumillac-le-Petit


    Département: Dordogne, Arrondissement: Nontron, Canton: Brantôme, Commune: La Chapelle Faucher - 24


    Domaine du Temple de Jumillac-le-Petit
    Domaine du Temple de Jumillac-le-Petit



    Chapelle du Temple de Jumilhac
    Chapelle du Temple de Jumilhac - Sources: Jack Bocar


    Jumillac-de-Cole


    — Secteur de la commune de la Chapelle-Faucher.
    — Jumilhacum (pouillé du XIIIe siècle)
    — Jumillac le Petit, 1734 (rôle des paroisses)
    — Membre de la Maison du Temple de Puymartin (O.S.J.)
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.


    Lempzours (24)

    Maison du Temple de Lempzours


    Département: Dordogne, Arrondissement: Nontron, Canton: Thiviers, Commune: Saint-Pierre-de-Cole - 24


    C'est une propriété privée, elle ne se visite pas.
    Maison du Temple de Lempzours
    Maison du Temple de Lempzours


    — Lempzours. Lempzor (Pouillé du XIIIe siècle)
    — Alempsours, Alempsors, (cartulaire de Saint-Cybar)
    — Lemsor (cartulaire de Ligueux)
    — Lempzoriumen 1365 (Lespine 88, châtellenie)
    — Ecclesia de Lempzac (panc, de l'évêque de Périgueux)

    Domaine templier (Domus Templi) au XIIe siècle, dont une partie est de la commune (du Font de la Roche, de la forêt de Ligueux à la Pierre Martine faisant division entre les justices de l'évêque de Périgueux et du fief de la Sale) fut donnée aux Templiers en 1139 par l'abbesse de Ligueux et l'évêque de Périgueux Geoffroy de Causse.

    Les Templiers étaient déjà logés au château-fort de La Salle (orthographié La Sale, La Sales ou de La Salle, suivant les documents), prêté au Temple par Géraud de La Salle (Géraud de Ligueux, à ne pas confondre avec Géraud de Sales de Cadouin mort en 1120) qui avait relevé le monastère de Ligueux, et qui se rangea avec humilité comme prieur sous la houlette de l'abbesse.

    Les templiers établirent à proximité, leur préceptorerie majeure du Périgord, qui le resta jusqu'en 1250. Peut-être est-ce un parent de Géraud de Salle, Eymeric de Salle qui est cité comme maître du Temple de Saint-Eulalie en Rouergue en 1195.

    Les Templiers possédaient également « le château » à côté de l'église romane bâtie au XIIe siècle dans le vallon. Mais le 13 octobre 1307 les templiers furent arrêtés et emmenés à Saint-Yrieix et Limoges.

    Nogaret s'empara des biens Templiers de Lempzours en 1308 avec les autres maisons du fief de Nontron, dont il avait acquit la temporalité du vicomte de Limoges et les autres bâtiments furent incendiés, il reste des vestiges de pierres brûlées dans le sol. Le château de La Salle avec quatre tours carrées fut repris après 1315 par les Béron de La Salle et de La Marthonie et démantelé (suivant loi du 6 août 1793 et du 13 pluviôse an II).

    La chapelle et une tour existaient encore en 1842, date du relevé topographique de M. Dufrenoy et Elie de Beaumont pour la « carte topographie de l'état-major », publiée en 1901.

    La maison actuelle



    C'est une propriété privée, elle ne se visite pas.


    Des vestiges de l'Ordre du Temple ou des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, ils n'en reste aucun. Cette actuelle maison a été totalement reconstruite au XVe siècle par des propriétaires privés.

    La Guionie, nom donnée au XIVe siècle à la maison noble élevée sur les ruines de la commanderie construite au milieu du XIIe siècle par les templiers du château de La Salle en même temps que l'église.

    L'entrée du bâtiment du commandeur se faisait par une porte surmontée d'un arc en plein cintre (actuellement semi-enterrée) elle fut ravagée pendant les guerres de religion.
    De la cave voûtée partait un souterrain, mais dans les années 1930, la grande cheminée menaçant de s'écrouler la cave fut en partie remblayée, bouchant l'entrée du souterrain qui débouchait sur la route au-dessus du cimetière.

    Les bâtiments de la commanderie sont la propriété de la famille Jarjavail. On peut écouter pendant des heures mademoiselle Madeleine Jarjavail, alerte octogénaire, raconter l'histoire de la maison noble de la Guionie, brûlée dans les guerres de religion, et reconstruite par les familles Normand et Siorac.

    Lempzours sarcophages



    Lempzours Pierre tombales
    Lempzours sarcophages


    En dessous le coteau voisin de Château-Buisson, des carrières s'enfoncent loin sous la colline, l'entrée est maintenant obturée, mais en 1937 on pouvait encore voir des sarcophages avec une croix pattée gravée dessus. Les couvercles furent enlevés et mis (retournés) à la place des pierres tombales, à l'intérieur de l'église, qui comportaient les noms des nobles enterrés là jusqu'en 1779.

    Lempzours pierre templière



    Lempzours pierre tombale
    Lempzours pierre templière


    Une dalle avec la croix templière est encore visible à l'entrée de l'église, on est obligé de marcher dessus en entrant. Des sarcophages relevés dans le cimetière sont posés à coté du monument aux morts.

    La petite église qui était la seule bâtisse dans la vallée au XIXe siècle (visitée par H. de Montégut en 1882, Bulletin Société historique et archéologique, tome IX) n'est plus coiffée de trois coupoles en pierres plates sur pendentifs, dont la centrale plus élevée était « fille directe de Saint-Front », écrivait M. Montégut.

    Les toits ont été refaits depuis et sont maintenant recouverts de tuiles brunes, on ne voit plus en descendant le coteau escarpé: « la coupole principale en pierres plates qui en dessinent parfaitement la forme conique, ces pierres plates, remontant à la plus haute antiquité et ayant acquis la teinte uniforme du reste de l'édifice et se confondent avec lui. »

    La façade ouest a son portail qui s'encadre de contreforts plats dont les remparts étayent un clocher-mur. Les travées est sont décorées de monillons sculptés dont ceux des angles offrent la particularité qu'ils représentent une triple figure humaine. Est-ce une allusion à la Sainte-Trinité ?
    Jusqu'en 1950, la place de l'église était ombragée par un orme creux, qui aurait été planté par Henri IV au XVII1 siècle.

    Præceptors


    La commanderie de Lempzours fut la résidence principale des maîtres du Temple en Périgord jusqu'en 1250:
    1130. Simon Antoine chevalier
    1228. Hélie de la Barthe.
    1240. Raymond Ayz.
    En 1246 Raymond Ayz

    « Magister Milici Petragoricensi, Templi d'Alempsor » « Maître du Temple en Périgord de Lempzor », fut nommé arbitre avec Pierre évêque de Périgueux et Itier abbé d'Aubeterre, d'un différent élevé entre Robert abbé de Saint-Cybar et Pierre de Chavagnac seigneur d'Aubeterre et Pierre de Saint-Astier évêque de Périgueux.

    — 1307. Gérard de Villars, chevalier, commandeur de la Marche en 1303, commandeur du Périgord en 1306, commandeur de France, visiteur des provinces d'Occident, est arrêté, amené à Limoges, mais réussit à s'enfuir.
    Publié sur le site avec l'aimable autorisation des Editions Editions Pilote 24
    Sources: André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002

    Eglise de Lempzours



    Eglise de Lempzours
    Eglise de Lempzours - Sources: Image Jack Bocar


    Monsieur le Secrétaire général et cher confrère, Mes nombreuses occupations me permettent si rarement de me rendre aux séances de la Société, que je prends le parti de vous adresser par lettre les communications verbales que j'aurais été heureux de faire en personne.
    Pour aujourd'hui, je rendrai compte d'une excursion archéologique que j'ai faite dans la commune de Lempzours, pendant ces vacances. Si je possédais le crayon de M. Jules de Verneilh, j'y joindrais un croquis, comme il sait si bien les faire. Espérons que ma description très sommaire augmentera encore le désir d'aller visiter cette ravissante petite église romane et contribuera à sauver d'une prochaine destruction l'un des plus curieux spécimens de l'art dit byzantin dans notre province.

    Au fond d'un vallon étroit et profond, à côté d'une source abondante et limpide qui jaillit du rocher, se dresse, sans aucune habitation, orientée de l'est à l'ouest, la jolie petite église de Lempzours. Sa longueur totale est de 25 à 26 mètres sa largeur de 5 à 6 mètres. Une coupole centrale, fille directe de Saint-Front, à pendentifs parfaitement définis, flanquée dans le même axe de deux autres coupoles beaucoup moins élevées, dont l'une a été refaite, l'autre complètement disparue. Le choeur paraît avoir été reconstruit, postérieurement à l'église romane. Il est à pan coupé, sans voûte ni abside.

    Lempzours Retable



    Templiers.ner
    Lempzours Retable - Sources: Image Jack Bocar


    L'autel a un retable en bois sculpté et peint, digne d'attirer l'attention, car il peut mettre sur la trace des origines de cette église, qui jusqu'à ce jour sont restées à peu près inconnues. L'un des panneaux, celui de droite, représente une femme à genoux présentant sa tête à un évêque crossé et mitré, bénissant de la main; celui de gauche, un religieux revêtu d'une robe de bure marron, les reins ceints d'une cordelière, la tête nue, à genoux au milieu des ruines de divers édifices à côté de lui, une tête de mort.

    Lempzours Vierge



    Lempzours Vierge
    Lempzours Vierge - Sources: Image Jack Bocar


    Le style des sculptures indique la seconde moitié du XVIIe siècle. Le sujet du premier panneau, cela ne saurait faire l'objet d'un doute, représente le martyre de sainte Valérie. L'on sait combien ce sujet est populaire en Limousin. Sainte Valérie, jeune patricienne de Limoges, convertie à la foi chrétienne par saint Martial, refuse les hommages du proconsul Silanus, qui, de dépit, lui fait trancher la tête. La tradition rapporte que, prenant sa tête à deux mains, elle fut la porter à saint Martial, alors occupé à célébrer le Saint-Sacrifice.

    Cette légende touchante, qui a quelques rapports avec celle de saint Denis, évêque de Paris, a été souvent reproduite par l'émail, le marbre et la pierre en Limousin. Ce retable, ainsi placé sous le patronage de sainte Valérie, patronne du Limousin, n'indiquerait-il pas, dans la construction de l'église, une origine limousine ? Je vous soumets la question.

    Le second panneau doit figurer saint Jérôme, souvent représenté priant avec une tête de mort à ses côtés. Reste le costume du religieux mais au XVIIe siècle les artistes ne se gênaient pas pour si peu et habillaient leurs saints un peu indifféremment, comme ils l'entendaient.

    Ce qui fait le charme de la jolie petite église qui nous occupe, c'est qu'elle est parfaitement intacte et telle qu'elle est sortie de la main de l'architecte au XIIe siècle.

    Sa coupole principale est couverte en pierres plates, qui en dessinent parfaitement la forme conique. Ces pierres plates, remontant à la plus haute antiquité, ont acquis la teinte uniforme du reste de l'édifice et se confondent avec lui. Rien d'étrange d'aspect, comme lorsqu'on descend le coteau escarpé qui domine le vallon de Lempzours, d'apercevoir ce petit monument, unique, solitaire, dans un état parfait de conservation, du moins à l'extérieur car à l'intérieur la coupole centrale menace ruine. Un morceau de bois soutient tant bien que mal une des fenêtres de la coupole byzantine.

    La commune, peu riche (elle compte à peine 300 habitants), a réuni la somme de 900 francs pour consolider son église. Il en faudrait bien davantage pour faire une réparation sérieuse.

    J'oubliais de signaler les charmants modillons du choeur, admirablement conservés. Ces modillons, aux angles du choeur, offrent cette particularité qu'ils représentent une triple figure humaine. Est-ce une allusion à la Sainte-Trinité ?

    Le vallon de Lempzours vient aboutir, à une petite distance, dans la vallée de la Côle, près de Saint-Pierre. Non loin du bourg de ce nom, se dressent encore les imposantes ruines de Bruzac, châtellenie importante dont le ressort s'étendait en grande partie sur le Limousin. (Sainte-Marie-de-Frugie, Saint-Paul-la-Roche). Ne faudrait-il pas trouver là l'origine du l'étable portant l'image du martyre de sainte Valérie ? Une châtelaine, originaire du Limousin, une Comborn ou une fille des vicomtes de Limoges (ces deux maisons se sont alliées aux Flamenc, sires de Bruzac), en souvenir de la sainte patronne du pays natal, n'auraient-elles pas élevé le charmant sanctuaire qui nous occupe ?

    Dans le pays, on dit que l'église relevait autrefois d'un couvent (de la Maison des Templiers de Lempzours). Le dictionnaire du vicomte de Gourgues indique en effet comme collateur le commandeur du Temple de Lempzours et ensuite le prieur des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, de Saint-Jean-de-Côle, dont l'église a aussi une origine byzantine et a été décrite par Félix de Verneilh.

    Je soumets toutes ces questions à la Société. Vous-même, dans vos archives, Monsieur le Secrétaire-général, trouverez-vous peut-étre l'explication du mystère.

    Quoi qu'il en soit, l'église de Lempzours était désignée comme devant être visitée lors de la dernière excursion archéologique de la Société (mois de septembre 1880). Des circonstances indépendantes de la volonté des visiteurs empêchèrent cette partie du programme de se réaliser. Je me suis efforcé, dans les limites de mes faibles forces, de réparer cette lacune du programme, bien heureux si ma description, tout imparfaite qu'elle est, décide quelques membres de tenter l'aventure et à nous en donner un croquis.

    Veuillez agréer, Monsieur le Secrétaire-général et cher confrère, l'assurance de mes sentiments bien dévoués.
    H. De Montégut.
    Sources: Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord. Périgueux 1882, tome 9.

    Maison du Temple de Lempzours


    Commanderie majeur du Périgord, elle possédait une grande partie du village de Font de La Roche, et une grande moitié de la forêt de Ligueux. Les Templiers détenaient aussi le château de La Salle.
    Il bâtirent la belle chapelle de Lempzours. Ils possédaient le château qui était situé dans le vallon près de la chapelle « qui n'est plus de nos jours », bâtit au XIIe siècle.

    C'est Nogaret qui s'empara de la totalité de la commanderie de Lempzours avec ses fiefs et autres dépendances et ce en 1308, alors qu'ils n'étaient pas encore jugés, ni coupable de quoi que ce soit...

    Lempzours


    — Commune, canton de Thiviers.
    — Lempzor (pouillé du XIIIe siècle).
    — Lemsor (cartulaire de Ligueux).
    — Lempzorium, 1365(Lespine 88, Châtellenie).
    — Ecclcsia de Lempzac (pancarte de l'évêché de Périgueux).
    — Patronne: sainte Marie; collateur le prieur de Saint-Jean-de-Cole.
    — Ancien repaire noble.
    — Praeceptorie des Templiers.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.


    Loubéjac (24)

    Maison du Temple de Sermet à Loubéjac


    Département: Dordogne, Arrondissement et Canton: Sarlat-la-Canéda, Commune: Loubéjac - 24


    Maison du Temple de Sermet à Loubéjac
    Maison du Temple de Sermet à Loubéjac


    Sermet, village sur la commune de Loubejac
    — Sermetum 1310 (Abbé de Lespine nº21, Usurpation du roi de France).
    — Sernatum, 1373 (O.S.J., Grégoire XI et Abbé de Lespine).
    — Praeceptoria de Sernat, 1460 (O.S.J. Condat).
    — Ancien repaire noble, ayant haute justice sur Loubéjac, 1760.
    — Membre de la commanderie de Chante-Geline sous les Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem.
    — Maison du Temple depuis le XIIIe siècle, les Templiers construisirent le château de Sermet.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.


    Lusignac (24)

    Maison du Temple de Lusignac


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Ribérac - 24


    Maison du Temple de Lusignac
    Maison du Temple de Lusignac


    Taularie, (hameau ou lieu-dit), commune de Lusignac.
    — Mayne de Taularia, 12.. (terrier de l'O.S.J.)
    — En 1280 Maynamentum de Maynardia.
    — Les Templiers possédaient le château et l'église fortifiée.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.

    Ce nom de Taularie est introuvable sur la carte de Cassini, pas plus sur les cartes de Géoportail, par contre il y a un lieu à quelques kilomètres de Lusignac qui se nomme Le Temple, il est possible que ce soit cet endroit ?
    Sous Lusignac et Saint-Paul Lisonne, il y a deux lieudits Le Maine-Neuf et Le Maine du Bost
    Entre Lusignac et Coutures, il y a un lieudit Le Temple.


    Marcillac-Saint-Quentin (24)

    Domaine du Temple de Larcy à Marcillac-Saint-Quentin


    Département: Dordogne, Arrondissement: Sarlat-la-Canéda, Canton: Sarlat-la-Canéda - 24


    Domaine du Temple de Larcy
    Domaine du Temple de Larcy


    Larcy, hameau, commune de Marcillac-Saint-Quentin.
    — Manse de Larsitz, 1304 (O.S.J.)
    — C'est en 1304 que les Templiers s'installèrent à Larsitz, vue la date, ils n'en profitèrent pas longtemps.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues — Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne — Paris Imprimerie Nationale — M DCCC LXXIII.


    Nanteuil (24)

    Domaine du Temple de Nanteuil


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Verteillac, Commune: Nanteuil-Auriac-de-Bourzac - 24


    Domaine du Temple de Nanteuil
    Domaine du Temple de Nanteuil


    — Maison du Temple de Nanteuil, il ne reste que des ruines féodales de l'église romane fortifiée, d'ailleurs très mal restaurée au cours des siècle.
    — Cette dite Maison du Temple était un Membre de la Maison du Temple de Soulet.

    Les Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, possédaient au XVe siècle, La Place, lieu-dit, commune de Nanteuil-de-Bourzac.
    — La Plazio, 1450 (O.S.J.)
    Sources: André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002


    Notron (24)

    Fief du Temple de Nontron


    Département: Dordogne, Arrondissement et Canton: Nontron - 24


    Fief du Temple de Nontron
    Fief du Temple de Nontron


    Les deux Ordres du Temple et des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem avaient des biens à Nontron.
    Du logis du commandeur Templier de Nontron « La maisoneis del Comandeor Gerardus de Vilaribus Militibus Templariis Nontronium », nous ne savons rien, peut-être fut-il récupéré et démoli par Nogaret, quand il acquit le fief de Nontron du vicomte de Limoges (Archives Nationales, 622 nº4).
    On retrouve cependant un hôpital ou maladrerie, géré par les Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem en 1252.

    Château et Eglise de Nontron



    Château et Eglise de Nontron
    Château et Eglise de Nontron en 1822
    Dessin du baron J. de Verneilh
    Sources: Bulletin de la Socité Archéologique du Périgord


    Le 13 octobre 1307 les Templiers furent arrêtés et emmenés à Saint-Yrieix et Limoges. Guillaume de Nogaret s'empara des biens Templiers de Lempzours en 1308 avec les autres maisons du fief de Nontron, dont il avait acquit la temporalité du vicomte de Limoges (Archives Nationales, 622, nº 43.) et les autres bâtiments furent incendiés, il reste des vestiges de pierres brûlées dans le sol.
    Sources: André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002


    Perigueux (24)

    Maison du Temple de Périgueux


    Département: Dordogne, Arrondissement et Cantons: Périgueux - 24


    Maison du Temple de Périgueux
    Maison du Temple de Périgueux


    Comme dans toutes les grandes villes les templiers et les hospitaliers avaient leur « Maison »

    Les templiers possédaient une maison à la Cité à côté de l'évêché et de l'église Saint-Etienne et une autre au Puy-Saint-Front, résidence du maître du Temple en Périgord, à l'actuel nº4 de la rue des Farges (où s'installeront en 1680 les religieuses de la congrégation des dames de la Foi). La maison Tenant était possession templière en 1307 et devint propriété du Cardinal du Périgord au milieu du XIVe siècle.

    En date du Ve jour des calendes d'octobre 1273 le sieur Hélie Volpat, demande à être enterré dans le cimetière des frères mineurs de Périgueux. Lègue à l'hôpital de Jérusalem une rente de 12 deniers et à la milice du Temple une somme égale (Bibliothèque Nationale, archives communales de Périgueux.)
    Publié sur le site avec l'aimable autorisation des Editions Editions Pilote 24
    Sources: André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002




    Maison des Templiers de Périgueux
    Maison des Templiers de Périgueux - Sources:Litogravure tirée de La Guienne monumentale (SHAP)


    Maison de Périgueux


    Les Templiers y possédaient des maisons, une à la « Cité » près de l'évêché, une autre au Puy-Saint-Front, résidence du Maître du Temple en Périgord, la maison Tenant était possession templière.

    La maison que les Templiers eurent à Périgueux et celle du Temple de Saint-Paul-la-Roche sont les deux seules possessions que nous puissions citer pour le Périgord; encore ne pouvons-nous pas dire qu'il soit parlé de la maison de Périgueux, puisqu'il n'est question que d'un précepteur de Périgueux et de la présence fréquente de ce sergent du Temple, dans plusieurs commanderies du Poitou et de l'Aquitaine. Il s'appelait Géraud ou Gérard de la Vergne, et ne se trouve cité, dans le Procès, que parce qu'il fut témoin de plusieurs réceptions, à Vouthon en 1290 (à la Toussaint) puis à Villegats, et enfin à Benet (vers 1297, à Noël).

    Précepteur de Périgueux: Vers 1290-1297, frère Géraud de La Vergne, sergent.
    Sources: Trudon des Ormes: Les possessions templières recueillent durant les interrogatoires des templiers par les hommes de Philippe le Bel et les commissions pontificales des diocèses de France.

    Procès des Templiers, tome II, page 85


    Et per eumdem modum vidit recipi fratres Guillelmum de Madito militem quondam, Ademarum Balotel servientem, deffunctos, simul in quadam camera domus Templi de Vilagast Pictavensis diocesis, in instanti estate erunt XIIII anni vel circa, per fratrem Gaufredum de Vilzero militem quondam, tunc visitatorem citra mare, presentibus Guillelmo de Blere tunc preceptore de Chausilho, qui detinetur apud Caynonem Pictavensis diocesis, et Geraldo quondam la Vernha, et Guillelmo Chandelier, predictis, et quibusdam aliis de quorum nominibus non recordatur.

    Procès des Templiers tome, II, page 190


    Frater Arnaudus Breion de Goerta serviens Engolismensis diocesis, testis supra juratus, mantellum ordinis et barbam defferens, quinquagenarius vel circa, cum quo inquisitum fuerat, absolutus et reconciliatus per officialem Pictavensem, lectis et diligenter expositis sibi omnibus et singulis articulis, respondit se nescire, nec credere, nec audivisse, dici de contentis in eis nisi quod sequitur: Dixit namque se fuisse receptum in capella domus Templi de Banes Xantonensis diocesis per fratrem Petrum de Madito militem quondam, circa festum Nativitatis Domini proximo preteritum fuerunt cireiter XIII anni, presentibus fratribus Petro Danbon, et Gerardo de la Vernha, preceptore Petragoricensi, et Guillelmo de Planis servientibus, deffunctis, in hunc modum: nam cum peciisset panem et aquam ordinis, et ei concessi fuissent, fecit eum dictus receptor vovere et jurare castitatem, obedienciam, et vivere sine proprio et imposito sibi mantello, receptor et astantes osculati fuerunt eum in ore.

    Procès des Templiers tome, II, page 236


    Capitulia vidit teneri, missa celebrata, in aurora, januis clausis, et providebatur ne audiretur exterius quod interius agebatur. Ordinata per Magistrum cum conventu servasset totus ordo, contra quem nunc grandia scandala, suspicio et infamia sunt exorta; et audivit dici a fratribus Geraldo la Vernha preceptore de Petragoricinio et Petro Daubo tunc preceptore in Vienesio, servientibus deffunctis, sunt circiter VII anni, dum simul equitarent de Villagast apud Civray Pictavensis diocesis, quod dicti errores non duraverant longo tempore in ordine, et quod, si Deo placeret, corrigerent, et credit ipse testis quod alii fratres ordinis communiter scirent dictos errores confessatos per eum, et quod Magister et alii fratres ordinis eadem sint confessi.
    Sources: Procès des Templiers, publié par M. Jules Michelet, tome 1 et 2 - Imprimerie Nationale - Paris - M. DCCC. LI.


    Plazac (24)

    Domaine du Temple de Plazac


    Département: Dordogne, Arrondissement: Sarlat-la-Canéda, Canton: Montignac - 24


    Domaine du Temple de Plazac
    Domaine du Temple de Plazac


    L'église de Plazac appartenait aux Templiers, elle est vaste, malgré les dégradations qu'elle a supportées, elle a été restaurée à divers époques: on y distingue des parties de constructions qui ont évidemment appartenu au XIIe siècle.
    Les arceaux plein ceinte, ornés d'un cordon ou bourrelets à tête de diamants, l'indique assez. Les voûtes sont ogivales.
    On voit dans quelques endroits de cette église des peintures à fresque. Ce sont des guirlandes assez gracieusement faites; il serait facile de les restaurer.
    Sources: Bulletin monumental, publié sous les auspices de la Société française pour la conservation et la description des monuments historiques; et dirigé par M. de Caumont, tome 1, Paris 1834


    Puy-de-Fourche (24)

    Maison du Temple de Puy-de-Fourches


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Brantôme, Commune: Sencenac-Puy-de-Fourches - 24


    Maison du Temple de Puy-de-Fourches
    Maison du Temple de Puy-de-Fourches


    Puy-de-Fourches


    — Podium Furcarum, 1293 (archives de l'abbaye de Brantôme).
    — Puey de Forchas, 1460 (O.S.J.)
    — Sous les Hospitaliers de Saint-Jean, après 1312, cette Maison du Temple fut adjointe à la Commanderie de Combeyranche.
    — Altitude: 235 mètres.
    — A l'Origine c'était une Maison du Temple.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.


    Puylautier (24)

    Maison du Temple de Puylautier


    Département: Dordogne, Arrondissement: Bergerac, Canton: La Force, Commune: Saint-Pierre-d'Eyraud - 24


    Maison du Temple de Puylautier
    Maison du Temple de Puylautier


    La Maison du Temple de Puylautier, qui était confrontée au ruisseau de l'Eyrau de deux côtés et au chemin qui va de Lartigue au Fleix, a complètement disparu. Un pré à La Graulet, commune de Fraysse se nomme« La Commanderie. »

    L'ancienne chapelle du Temple de Puylautier fut reprise par les Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem au XIVe, ces dits Hospitaliers possédaient le hameau de Larbougue.
    Sources: André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002

    Puylautier


    — Ancienne chapelle des Templiers fut repris par les Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
    — Le ténement de Puy-Lautier confronte au ruisseau de l'Eyrau de deux côtés et au chemin qui va de Lartigue au Fleix: étendue, 22 journaux (Reconnaissance de 1673, O.S.J.)
    — Un pré, à la Graulet, commune de Fraysse, se nomme la Commandière (Annonces judiciaires.)
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.


    Puymartin (24)

    Maison du Temple de Puymartin


    Département: Dordogne, Arrondissement: Nontron, Canton: Brantôme, Commune: La Chapelle-Faucher - 24


    La commanderie de Puymartin est une proriété privée, elle ne se vite pas
    Maison du Temple de Puymartin
    Maison du Temple de Puymartin


    Sur la commune de La Chapelle-Faucher « Ecclesia Fulcherii » XIIe siècle, qui dépendait de la châtellenie de Nontron et de l'évêché de Limoges au XIIIe siècle, de nombreux sites témoignent de la présence templière et hospitalière:

    Chapelle de Puymartin



    chapelle de l'ancienne commanderie
    chapelle de l'ancienne commanderie. Sources: Jack Bocar



    Petit-Jumilhac


    Département: Dordogne, Arrondissement: Nontron, Canton: Brantôme, Commune: La Chapelle-Faucher - 24


    Domaine du Temple de Petit-Jumilhac
    Domaine du Temple de Petit-Jumilhac


    Jumilhac-de-Côle ancien nom de Petit-Jumilhac
    Puymartin « praeceptoria Templi de Podio » avec son vieux donjon (ou ce qu'il en reste) et quelques murs de l'église Saint-Capraise, ancien fief Templier qui avait comme membres Saint-Maurice de Jumilhac-de-Côle.

    « Jumilhacum » (pouillé du XIIIe siècle
    Jumilhac-le-Petit 1734, (rôle des paroisses) et Saint-Jean-de-la-Trappe en partie dans Condat-Champagnac et Saint-Laurent de Gogabaud.

    Chapelle de Puymartin



    Chapelle de la commanderie de Puymartin
    Domaine du Temple de


    Après la reprise de ces sites par les hospitaliers on peut relever:
    — Puymartin (Sancii Marti) 1373 (OSJ).
    — Champagnac-de-Bel-Air, archiprêtré portant au XIIIe siècle le nom d'archiprêtré de Condat (Condat sur-Trincou, Condat de Côle) « Campahacum », « Champahanhacum » 1380 (OSJ).
    — La Roussille (Mansus de la Rossilla) 1460 (OSJ).
    — La Rolphie, hameau (La Rouffié) 1494 (OSJ).
    — Mas de Eytier Chastel, 1510 (OSJ).
    — Hôpital de la Trappe Saint-Jean, à Condat-sur-Trincou: Capella B. Johannis de la Trape, 1515 (OSJ). Tenensia voc de la Trappa, 1481 (archives de la Gironde).
    — Mayn. de Dardalies, Maynamentum, 1518 (OSJ).

    Chapelle de Jumilhac le Petit



    Chapelle de Jumilhac le Petit
    Chapelle de Jumilhac le Petit. Sources: Jack Bocar


    A Jumilhac-le-Petit on peut encore voir la petite chapelle romane à l'abside arrondie, et une maison fortifiée avec une échauguette d'angle, dans les ruines de la chapelle de Puymartin, deux croix templières et devant l'église romane de La Chapelle-Faucher, une croix de Malte en pierre.

    Les 27 et 28 octobre 1304, Bertrand de Got, le futur pape, de passage à Brantôme, fit visiter les prieurés de Condat-sur-Trincou et la commanderie de Puymartin.

    En 1742, le sieur Jean-Louis de Guérin de Tencin, commandeur de Condat-sur-Vézère et Puymartin et membres en dépendants, croix de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, est qualifié d'ambassadeur de cet Ordre près de N.S.P. le Pape.

    Tous ces titres ne l'empêchent pas d'être condamné comme gros décimateur de la paroisse du Petit-Jumilhac, à payer à Joseph Duval, prêtre, sa portion congrue de vicaire perpétuel de cette paroisse.

    Au XVIIe siècle Le Petit-Jumilhac et Puymartin faisaient partie de la juridiction des seigneurs de la Chapelle-Faucher.
    Sources: André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002

    Puymartin


    — Hameau, commune de la Chapelle-Faucher (cadastre).
    — Praeceptoria de Podio Sancti Marti, 1373 (Abbé de Lespine et O.S.J.)
    — Podium Martini (Abbé de Lespine et O.S.J.)
    — A l'origine, Maison du Temple, puis Commanderie de l'ordre de Saint-Jean, annexée à celle de la Roche-Saint-Paul, 1373 (Abbé de Lespine et O.S.J.)
    — Forêt de Puymartin, dite la Brousse.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.


    Reilhac (24)

    Maison du Temple de Reilhac


    Département: Dordogne, Arrondissement: Nontron, Canton: Bussière-Badil, Commune: Champniers-et-Reilhac - 24


    Maison du Temple de Reilhac
    Maison du Temple de Reilhac


    Reilhac, hameau fusionné avec Champiers.
    — Relhac de Champnier (Occitant)


    Chapelle du Temple de Reilhac



    Chapelle du Temple de Reilhac
    Chapelle du Temple de Reilhac - Sources: Jack Bocar


    A l'extrême limite nord de la Dordogne, à deux pas de la Haute-Vienne se trouvait une Maison du Temple dépendant du diocèse de Limoges et de la vicomté de Rochechouard appartenant politiquement au Poitou.
    Les Templiers avaient fait édifier l'église romane (MH) en granit, semi-fortifiée avec portail sculpté à cinq vousssures.

    Chapelle du Temple de Reilhac



    Chapelle du Temple de Reilhac
    Chapelle du Temple de Reilhac - Sources: Jack Bocar


    Le choeur décoré d'arcatures ogivales et de colonnes, est voûté en cul-de-four.

    Chapelle du Temple de Reilhac



    Chapelle du Temple de Reilhac
    Chapelle du Temple de Reilhac - Sources: Jack Bocar


    La tour du clocher octogonal construite sur un plan barlong, est décorée par des arcades aveugles en plein cintre.

    Chapelle du Temple de Reilhac



    Chapelle du Temple de Reilhac
    Chapelle du Temple de Reilhac - Sources: Jack Bocar


    A l'intérieur de l'église les fonts baptismaux sont creusés dans un bloc de granit.

    Chapelle du Temple de Reilhac



    Chapelle du Temple de Reilhac
    Chapelle du Temple de Reilhac - Sources: Jack Bocar


    En 1307 les Templiers furent arrêtés et emmenés à Limoges où ils seront entendus en novembre par les gens du roi et les inquisiteurs et par l'évêque de Limoges. Ensuite, dix-sept Templiers du diocèse de Limoges sont conduits à Clermont-Ferrand en 1309, puis, Elie de Chalistrat, prêtre de la Maison de Relhac, sera amené à Poitiers pour être entendu par le pape Clément V, et à Paris par la commission pontificale.

    Après le départ des Templiers les curés de l'arrondissement de Nontron, firent construire une maison forte. Quand les Hospitaliers de la fondalité de Bourganeuf (Haute-Vienne) vinrent pour en prendre possession en 1600, ils furent mal accueillis et les soldats du « beau chasteau » les obligèrent à partir.

    En 1617 les revenus de la commanderie de Reilhac et Milaguet (en Haute-Vienne) étaient de 120 livres.
    Sources: André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002


    Rouquette (La) (24)

    Domaine du Temple La Rouquette


    Département: Dordogne, Arrondissement: Bergerac, Canton: Eymet, Commune: Eymet - 24


    Domaine du Temple La Rouquette
    Domaine du Temple La Rouquette


    L'église de La Rouquette du XIIe siècle et la grange dite « du Temple » du Font d'Eylias, étaient une possessions des Templiers.
    Sources: André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002


    Saint-Jean-de-Côle (24)

    Domaine du Temple de Saint-Jean de Côle


    Département: Dordogne, Arrondissement: Nontron, Canton: Thiviers - 24


    Domaine du Temple de Saint-Jean de Côle
    Domaine du Temple de Saint-Jean de Côle


    Il n'y a plus de traces du lieu Le Temple
    Village à 20 km au nord-est de Brantôme.
    — Sent Jan de Colâ (Oc).
    — Les Templiers possédèrent plusieurs établissements sur la commune aux lieux-dits « Le Temple » et « Les Granges. »
    — Ils exploitaient une mine d'or et quartz au But.
    — Ils surveillaient également la circulation sur l'important chemin médiéval et percevaient des redevances sur le marché du sel de Saint-Jean.
    — Le 23 octobre 1304, Bertrand de Got, le futur pape Clément V visita le prieuré où il coucha avec son « train » aux dépens du prieur.
    — Les hospitaliers reprirent une partie des biens Templiers en 1316, et gérèrent sur le territoire une maladrerie et un cimetière des ladres.
    — En 1781 Jean Fonfroide âgé de 54 ans, chanoine régulier de l'ordre de Saint-Antoine, réuni à celui de Saint-Jean de Jérusalem à Malte, a été décoré de la dignité de Grand commandeur ecclésiastique dudit ordre de Saint-Jean en l'île de Malte et mis en sépulture en paroisse Saint-Jacques de Saint-Jean-de-Côle (Archives de la Dordogne E supplement 1262).
    — Au XVIIe siècle Saint-Jean de Côle faisait partie de la juridiction des seigneurs de la Marthonie.
    — Temple (Le), commune de Saint-Jean-de-Cole (cadastre)
    Sources: André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002


    Saint-Jouy-de-Chalais (24)

    Domaine du Temple de Saint-Jory-de-Chalais


    Département: Dordogne, Arrondissement: Nontron, Canton: Jumilhac-le-Grand - 24


    Domaine du Temple de Saint-Jory-de-Chalais
    Domaine du Temple de Saint-Jory-de-Chalais


    Sur cette paroisse, les Templiers possédaient l'église, on peut encore y voir une croix templière.
    Publié sur le site avec l'aimable autorisation des Editions Editions Pilote 24
    Sources: André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002


    Saint-Leon-sur-Vézère (24)

    Domaines du Temple de Saint-Léon-sur-Vézère


    Département: Dordogne, Arrondissement: Sarlat-la-Canéda, Canton: Montignac - 24


    Domaines du Temple de Saint-Léon-sur-Vézère
    Domaines du Temple de Saint-Léon-sur-Vézère


    Saint-Léon-sur-Vézère


    Sur cette paroisse les Templiers de Sergeac avaient la jouissance de plusieurs terrains:
    — La Borderie de Tonelarie « Bordarea Tonelaria. »
    — Le Terme Rouge « Terminus Rubeus » 1303.
    — Mans de « Podio Lannor » 1303.
    Publié sur le site avec l'aimable autorisation des Editions Editions Pilote 24
    Sources: André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002


    Saint-Martial-Viveyrol (24)

    Domaine du Temple de Saint-Martial-Viveyrol


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Verteillac - 24


    Domaine du Temple de Saint-Martial-Viveyrol
    Domaine du Temple de Saint-Martial-Viveyrol


    Saint-Martial-Viveyrol


    — Saint-Martial de Vivayrols, 1341 (Lespine)
    — Saint-Martial de Viveyrolis, 1556 (panc. de l'évêché)
    — Saint-Martial de Viverols, 1488 (Lespine 24; recette du Périgord)
    — Saint-Martial de Vieyrol, 1503 (Mémoire d'Albret)
    — Saint-Martial de Viveyroulx, 1540 (chartes Mourcin)
    — Patron: saint Martial.
    — Collateur, le chapitre d'Aubeterre.
    — Bailliage royal.
    — Ancien repaire noble ayant justice sur la paroisse, 1760.
    — Ancienne Maison du Temple, membre de La Maison de Soulet

    Saint-Martial-Viveyrol



    Saint-Martial-de-Viveyrol
    Saint-Martial-Viveyrol - Sources: Jack Bocar


    — L'église romane fortifiée, à clocher-donjon à narthex et chambre forte crénelée, était possession templière au XIVe siècle, dépendant de la Maison du Temple du Soulet.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.


    Saint-Michel-de-Montaigne (24)

    Domaine du Temple de Saint-Michel de Montaigne


    Département: Dordogne, Arrondissement: Bergerac, Canton: Vélines - 24


    Domaine du Temple de Saint-Michel de Montaigne
    Saint-Michel-de-Montaigne


    L'église romane (MH) à coupole et abside en cul-de-four, portail à voussures avec sur les chapiteaux d'entrée, la croix des templiers. Elle fut comme celle voisine de Bonnefare une possession templière; elle reçut au XVIe siècle le coeur de Montaigne, dit-on, mais on ne l'a jamais trouvé.

    Saint-Michel-de-Montaigne



    Saint-Michel-de-Montaigne
    Saint-Michel-de-Montaigne - Sources: Jack Bocar


    Saint-Michel-de-Montaigne



    Saint-Michel-de-Montaigne
    Saint-Michel-de-Montaigne - Sources: Jack Bocar


    Les hospitaliers possédèrent sur le territoire:
    — « Praeceptoria S.M. de Riparia, de Rippia in patr. Petragoricens », 1460 (OSJ).
    — Le ruisseau la Lidoire, « la Lydoyre », 1674 (OSJ).
    Sources: André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002

    Saint-Michel-de-Montaigne



    Saint-Michel-de-Montaigne
    Saint-Michel-de-Montaigne - Sources: Jack Bocar


    Saint-Michel de Montaigne


    — Bonnefare-et-Saint-Michel
    — Bonefare, 1306 (terrier de Monravel, 288).
    — Bonafara, 1373 (Lespine O.S.J.)
    — L'Hospital de Bonnefare, 1604 (terrier de Monravel, 5).
    — Maison du Temple et ensuite Commanderie de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.


    Saint-Michel-Rivière (24)

    Domaine du Temple de Saint-Michel-Rivière


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Saint-Aulaye, Commune: La Roche-Chalais - 24


    Domaine du Temple de Saint-Michel-Rivière
    Domaine du Temple de Saint-Michel-Rivière


    Saint-Michel-Rivière


    — Præceptorie Saint-Michel de Riparia, de Rippia, in patr. Petrag., 1460 (O.S.J. Condat).
    — Saint-Michel-la-Rivière, archives de Vanxains, 1648 (bénéfice de l'évêché de Périgueux).
    — Saint-Michel-des-Rivières (Atlas du Périgord par Belleyme).
    — Membre de la commanderie de Chante-Geline - De nos jours Chantepoule.
    — Les Templiers y possédaient l'église de Saint-Michel l'écluse et des terres sur la paroisse.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.


    Saint-Pantaly (24)

    Domaines du Temple de Saint-Pantaly-d'Excideuil


    Arrondissement: Périgueux, Canton: Excideuil - 24


    Domaines du Temple de Saint-Pantaly-d'Excideuil
    Domaines du Temple de Saint-Pantaly-d'Excideuil


    Saint-Pantaly


    — Sanctus Pantaleo, 1120 (Gallia Christiana Ecclesia Petragor)
    — Sanctus Pantalius (pouillé du XIIIe siècle)
    — Saint Panthaly, XVIe siècle (Pau, Châtellenies du Périgord)
    — Vocable Saint-Jean.
    — Maison du Temple à Saint-Pantaly, près de l'église.
    — Sur cette paroisse, les Templiers possédaient les domaines de Puy-Vibert et le Puy-Jubert.

    Puy-Jubert


    — commune de Saint-Pantaly, canton d'Exideuil.
    — Podium Wiberti (Chron. du Périgord II, 21)
    — Ancienne possession de l'ordre du Temple (Chron. du Périgord II, 21)
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.


    Saint-Paul Lizonne (24)

    Domaine du Temple de Saint-Paul-Lizonne


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Verteillac - 24


    Domaine du Temple de Tourneférie
    Domaine du Temple de Tourneférie


    Saint-Paul-Lizonne


    — Sanctus Paulus de Lizona, 1365 (Abbé de Lespine, Châtellenies do Bourzac).
    — Sanctus Paulus de Drone, 1399.
    — Saint Paul de Nizone, XVIe siècle (Pau, Châtellenies du Périgord)
    — Patr. saint Pierre et saint Paul.
    — collateur, l'évêque.
    — les Templiers tenaient l'église fortifiée et le manse de Tourneférie.
    Sources: André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002


    Saint-Paul-la-Roche (24)

    Maison du Temple de Saint-Paul-la-Roche


    Département: Dordogne, Arrondissement: Nontron, Canton: Jumilhac-le-Grand - 24


    Maison du Temple de Saint-Paul-la-Roche
    Maison du Temple de Saint-Paul-la-Roche


    — Aux environs de 1140, le seigneur Guy Flamenc de la Roche-Saint-Paul fit don de terres et bois aux Templiers qui édifièrent la préceptorerie de La Roche Saint-Paul « Praeceptoria de Ruppis Sancti Pauli » ou « Sanctus Paulus de Rupe », elle devint rapidement la plus importante de la région.

    — Guy et Adhémar IV vicomtes de Limoges qui disputaient le territoire à Guy Flamenc, vinrent l'assiéger en 1143 avec l'aide de Bozon II, vicomte de Turenne. Mais Bozon ayant été tué d'un coup de flèche, les deux vicomtes effrayés, et pour éviter les plaintes de leurs troupes campant sous la neige, s'empressèrent de lever le siège et de quitter la contrée.

    — Les Templiers édifièrent plusieurs maisons fortes et dépendances sur le coteau à 300 mètres de l'église. On peut encore voir la maison forte dite « des gardes » avec ouvertures ébrasées en archères, servant à éclairer les salles et à se défendre si besoin. On entrait en passant sous une porte ogivale débouchant dans la cave voûtée, porte maintenant obturée.
    Publié sur le site avec l'aimable autorisation des Editions Editions Pilote 24
    Sources: André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002


    Saint-Paul-la-Roche


    — Sanctus Paulus de Rupe, 1382 (P. V. M.).
    — Patrons: saint Pierre et saint Paul; collateur, le prieur de Saint-Jean-de-Cole.
    — Commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean depuis 1312.
    — Ancien repaire noble, avec justice sur la paroisse 1760.
    — Preceptoria de Rupe Sancti Pauli; elle était annexée à celle de Puy-Martin.
    — Maison du Temple dès le début de XIIIe siècle.
    — Praeceptors: 1233, Helias de Borzac.
    — 1307, Villaribus (F. Bertrandus De), preceptor de Rupe Sancti Pauli, (Michelet, Procès tome II, pages 121 et 122-125).
    — 1307, Villaribus (F. Bertrandus De), Trudon des Ormes, page 204.
    — Avouant en 1309 devant l'évêque de Clermont.
    — Dépose le 29 mars 1311 devant la commission pontificale (Michelet tome II 121 frater Bertrandus de Villaribus preceptor de Rupe Sancti Pauli petragoricensis 122-125 de diocesi Lemovicensi oriundus, quadragenarius).
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.

    Procès des Templiers, tome II, page 121


    Post hec, die Lune sequenti, qui fuit XXVIIII dies dicti mensis Marcii,fuerunt adducti pro testibus, in domo predicta domini Petri de Sabaudia, adpresenciam dictorum dominorum commissariorum, Mimatensis et Lemovicensis episcoporum et archidiaconi Tridentini, aliis excusatis, fratres Bertrandus de Villaribus preceptor de Rupe Sancti Pauli Petragoricensis (Périgueux), Guillelmus Textoris curatus de Sellis Claramontensis, presbiteri; Guillelmus de Mazayas Claramontensis, Guido la Chastaneda Lemovicensis, milites; Johannes de Mendaco preceptor Marchie, Johannes Senandi preceptor Folhose, Johannes Adam preceptor Turrete, Hugo Charnerii preceptor de Sancto Porciano Claramontensis, Rogerius la Rocha Bituricensis, et Bertrandus de Ansonio Claramontensis diocesium, servientes; qui, tactis sacrosanctis Evangeliis, juraverunt dicere in isto negocio plenam et meram veritatem, secundum formam juramenti aliorum testium superius registratam, expositam et vulgarizatam eisdem; et fuerunt protestati quod non intendunt recedere a [p. 122] deposicionibus suis per eos factis coram domino episcopo Claramontensi.

    Procès des Templiers, tome II, page 122


    Quo facto, dictus frater Bertrandus de Villaribus, de diocesi Lemovicensi oriundus, preceptor de Rupe Sancti Pauli, quadragenarius vel circa, absolutus et reconciliatus per dominum Claramontensem episcopum, qui inquisiverat cum eo, mantellum ordinis defferens, lectis et diligenter expositis sibi omnibus et singulis articulis, respondit se nescire, nec credere, nec audivisse de contentis in ipsis articulis nisi quod sequitur.

    Procès des Templiers, tome II, page 219


    Lectis autem et diligenter expositis sibi omnibus et singulis articulis, respondit quod nullum alium viderat recipi in ordine, nec capitulis interfuerat eorumdem, unde nesciebat, nec credebat, nec audiverat dici de contentis in dictis articulis nisi quod sequitur: dixit nempe se fuisse receptum in quadam camera domus Templi de Bella Chassanha Lemovicensis diocesis, per fratrem Petrum de Madito militem quondam, preceptorem tunc Lemovicinii, in hac estate erunt X vel XI anni, presentibus fratribus Bertrando de Villaribus presbitero, preceptore de Rupe Sancti Pauli, Guidone Delphini milite, testibus. supra examinatis, Stepbano la Vernha quondam presbitero, et Petro de Ermenco in Alvernia serviente de cujus vita vel morte non hab et certitudinem.

    Procès des Templiers, tome II, page 230


    Requisitus si predicta illicita communiter et ubique interveniebant in recepcionibus aliorum fratrum ordinis vel post, respondit se credere quod sic, sed hoc aliter nesciebat, quia non viderat fieri, licet viderit aliquos recipi in ordine supradicto, et specialiter fratrem Bertrandum de Villaribus preceptorem de Rupe Sancti Pauli testem supra examinatum, in predicta capella de Paulhaco, per dictum fratrem Johannem las Cbausadas, sunt circiter XX anni, presentibus fratribus Dionisio predicto, Petro Raynaudi, et Gerardo de Sancto Martineto, in dicta domo residentibus, deffunctis; et fratrem Aymericum de Masualier juniorem servientem, Lemovicensis diocesis, quem receperat frater Aymericus de Masualier senior, avunculus dicti Aymerici, preceptor tunc domus Templi Mansi Dei de Lobertz Lemovicensis diocesis, in capella dicte domus, sunt circiter XV anni, presentibus fratribus Guillelmo Aymerici preceptore domus Templi de Champens Lemovicensis diocesis, detento in Lemovicinio, et Arnaudo de Brolio quondam de Pictavia serviente; sed voto emisso per predictos et imposito eis mantello, ipse testis recessit, quia receptores dicebant quod recederent qui recedere volebant et officia gerebant; et ideo nescit quod extunc agebant, sed credit quod abnegacionem et spuicionem facerent supradictas. Plurium recepcionibus se non recolit adfuisse.
    Sources: Procès des Templiers, publié par M. Jules Michelet, tome 1 et 2 - Imprimerie Nationale - Paris - M. DCCC. LI.


    Saint-Pierre-d’Eyraud (24)

    Domaine du Temple de Saint-Pierre-d’Eyraud
    Département: Dordogne, Arrondissement: Bergerac, Canton: La Force - 24


    Domaine du Temple de Saint-Pierre-d’Eyraud
    Domaine du Temple de Saint-Pierre-d’Eyraud


    Saint-Pierre-d’Eyraud
    A Puy-Lautier (ce lieu dit n’existe plus), sur la commune de Saint-Pierre-d’Eyraud.
    — Ancienne chapelle des Templiers fut repris par les Hospitaliers de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.

    Histoire de Saint Pierre d’Eyraud
    L’origine du nom de la commune provient de la rivière qui la traverse. La rivière Eyraud est située sur le territoire de la commune qui d’ailleurs s’appelait simplement Eyraud au XVIIe siècle, et le saint patron du village est Saint Pierre, fêté le 29 juin.

    Saint Pierre d’Eyraud, dont le territoire est arrosé par la Dordogne et par l’Eyraud est très tôt un lieu privilégié pour l’installation humaine. Les Gaulois sont certainement les premiers habitants des ces paysages verdoyants et fertiles.

    Un sarcophage monolithique, découvert en 1884 aux Masseries, atteste également d’une présence romaine sur la commune. Il contient, outre un corps, des débris textiles, de la monnaie romaine et trois récipients de verre.

    La paroisse, mentionnée dès le XIIe siècle sous le nom de « Parocha Sancti Petri Deurot », dépend des seigneurs de La Force et du Fleix.

    Au moins quatre châteaux occupent le sol de la commune. Deux d’entre eux, le Féroux et la Picherie, sont devenus des propriétés viticoles réputées.
    Le château de Masduran, appelé « Masus Durandi » en 1345, dépend des seigneurs de La Force. Il est pris par le Comte de Derbi. Il est à nouveau assiège par les Anglais en 1450, et libéré par les troupes françaises qui le rendent à Jean de Beaupoil, seigneur de la place.

    On peut également citer le château de Sauthier, ancienne demeure des Saint-Martin. Il constitue la commanderie de l’Ordre des Templiers.
    On dénombre trois cimetières privés, dont celui de la famille Escarmant comportant sept tombes, et celui de la famille Imbert qui en accueille deux.
    Ancienne grange de la commanderie des Templiers
    Sur la commune de Saint Pierre d’Eyraud, on peut voir une grande bâtisse de plain-pied, qui est l’ancienne grange de la Commanderie des Templiers.

    D’abord propriété de l’Ordre des Templiers, cette grange appartient ensuite à l’Ordre de Malte qui lui a succédé dans la région. Sa charpente permet de la dater du XVIe siècle, en attendant des expertises complémentaires.
    Au lieu-dit du Sautier, sur la route du Landet, la grange est située sur une hauteur, offrant une vue imprenable sur les coteaux du vignoble de Saussignac.

    Ancienne grange


    Saint-Pierre-Eyraud
    Ancienne grange de la Commanderie des Templiers


    Ancienne grange de la Commanderie des Templiers
    Sources:Saint Pierre d’Eyraud - 2009 - Mairie de Saint Pierre d’Eyraud


    Saint-Pierre-de-Côle (24)

    Domaine du Temple de Saint-Pierre-de-Côle


    Département: Dordogne, Arrondissement: Nontron, Canton: Thiviers - 24


    Domaine du Temple de Saint-Pierre-de-Côle
    Domaine du Temple de Saint-Pierre-de-Côle


    Saint-Pierre-de-Côle


    — Commune à 14 km de Brantôme.
    — Sanctus Paulus de Cola, 1192 (Lespine)
    — Sancti Pétri de Cola, (bulle du pape Célestin III de 1192)
    — Saint Pey de Cole, (XVIIe siècle)
    — Pierre sur Côle, 1794, (les saints avaient été priés d'abandonner le territoire, ils revinrent deux ans plus tard).
    — Sent Pèi de Colà, (Occitant).

    Sur le territoire de la juridiction des seigneurs de Bruzac, l'église romane de Saint-Pierre-de-Côle « Sanctus Petrus de Cola » datant du XIe siècle a abrité des Templiers qui devaient occuper le petit bourg, gîte d'étape entre Brantôme et Saint-Jean-de-Côle.

    Des travaux de ravalement viennent de découvrir une croix templière, sculptée sur la clef de voûte de la porte d'un local attenant à l'église, c'est peut-être une croix de consécration, mais dans ce cas elle serait sur le mur de l'église que le pape Célestin III annexa au prieuré de Saint-Jean-de-Côle (bulle de 1192).

    Sur la commune (qui était voisine, on trouve les Maisons du Temple de Puymartin et de Lempzours) on relève un lieu-dit « Le mas du Temple » (de Gourgues, Dictionnaire Topographique de la Dordogne) mais il n'est plus identifiable, c'était peut-être le mas fortifié de Ferrière qui s'élevait sur un coteau.
    Sources: André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002

    Les Peyrriches


    Département: Dordogne, Arrondissement: Nontron, Canton: Thiviers - 24


    Domaine du Temple Les Pierriches
    Domaine du Temple Les Pierriches


    — Hameau, commune de Saint-Pierre-de-Cole.
    — Mayon de las Peyrichas, 1450 (O.S.J.)
    — Membre de la Maison du Temple de Saint-Pierre-de-Cole.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.


    Sarlat-la-Canéda (24)

    Maison du Temple de La Canéda


    Département: Dordogne, Arrondissement et Canton: Sarlat-la-Canéda - 24


    Maison du Temple de La Canéda
    Maison du Temple de La Canéda


    La Canéda



    chapelle fortifiée de La Canéda, image Jack Bocar
    Chapelle fortifiée de La Canéda


    — Praeceptorie domus militi Templi XIIe siècle.
    — La chapelle fortifiée a été construite par les Templiers.
    — En 1147, l'Abbé Saint-Bernard de Clairvaux y vint au cour du prêche de la deuxième croisade.
    — En 1304, le maître du Temple de la Canéda, refusa de recevoir les visiteurs délégués par Bertrand de Got, futur pape Clément V.

    Roc de Cubes


    — Commune de la Canéda.
    — La Rocqua de Cubas, 1451 (O.S.J. la Canéda)
    — Il appartenait à la Maison du Temple.

    Chapelle du Temple de La Cadéna



    Chapelle du Temple de La Cadéna
    Chapelle du Temple de La Cadéna - Sources: Jack Bocar


    Hôpital de La Canédat


    — Après 1312, les Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem héritèrent de cette Maison du Temple de La Canéda.
    — Praeceptoria domus hospitalis Sancti Jahannis de la Canada ou Cavada (Abbé de Lespine, manuscrit nº1, O.S.J.)
    — Prioractus de Caneta, XVe siècle. Prieuré visité par Clément V (Itin. en Périgord).
    — La Canéda relevait de la châtellenie de Domme au XIVe siècle.

    La Borie de Bars


    Département: Dordogne, Arrondissement et Canton: Sarlat-la-Canéda, Commune: Vitrac - 24


    Domaine du Temple de La Borie de Bars
    Domaine du Temple de La Borie de Bars


    — La Borrio de Bars, 1495 (archives de l'O. S. J.).
    — Il est probable que les Templiers de La Canéda avaient des biens à cet endroit.

    La Bénechie


    — Forêt, commune de la Canéda.
    — Lo puech de la Beneychia, 1396 'O.S.J.)
    — Dépendance de la Maison du Temple de La Canéda.

    Chapelle de La Canéda



    Chapelle de La Canéda
    Chapelle de La Canéda - Sources: Michel Chanaud - panoramio.com


    La Lande


    Département: Dordogne, Arrondissement et Canton: Sarlat-la-Canéda - 24


    Domaine du Temple de La Lande
    Domaine du Temple de La Lande


    — Mansus de la Landa, 1491 (O.S.J. Condat)
    — Dépendance de la Maison du Temple de La Canéda.

    Mombette


    Département: Dordogne, Arrondissement: Sarlat-la-Canéda, Canton: Vallée Dordogne - 24


    Domaine du Temple de Mombette
    Domaine du Temple de Mombette


    — Hameau, commune de Cénac.
    — Monbeta, 1491 (O.S. J.)
    — Ancien repaire noble.
    — Maison du Temple de la Canéda.

    La Seguinie (La)


    Département: Dordogne, Arrondissement: Bergerac, Canton: Lalinde, Commune: Le Buisson-de-Cadouin - 24


    Domaine du Temple de Seguinie
    Domaine du Temple de Seguinie


    — Nemus de la Syguinie, 1491 (O.S.J.)
    — Il est probable que les Templiers de La Canéda avaient des biens à cet endroit.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.


    Sergeac (24)

    Maison du Temple de Sergeac
    Département: Dordogne, Arrondissement: Sarlat-la-Canéda, Canton: Montignac - 24


    Maison du Temple de Sergeac
    Maison du Temple de Sergeac


    En 1280, Hélie Rudel Ier, sire de Pons, seigneur de Bergerac et de Montignac, etc., vendit à frère Géraud Larergne, précepteur des maisons du Temple, dans le diocèse de Périgueux, une certaine étendue de terrain autour de la maison du Temple de Sergeac, avec la moyenne et basse justice, pour la somme de cent livres tournois, et un marabotin d’or d’acapte, en signe de la haute justice, payable à muance du seigneur de Montignac et du grand maître du Temple outre-mer, par le percepteur de Sergeac ou tout autre. Cet acte prouve suffisamment que la maison de Sergeac existait déjà depuis longtemps.

    Dans les premiers mois de 1305, et par conséquent plus de vingt-quatre ans après cette vente, Renaud de Pons IV, fils et héritier d’Hélie Rudel, se trouva n’être plus d’accord arec Gérard Larergne, et fit un traité avec lui, par lequel il ratifiait la rente faite par son père, moyennant trois cent cinquante livres de petits tournois noirs et le marabotin d’or d’acaple, stipulé avec quelques autres réserves sans importance.

    Ce même Arnaud de Pons IV avait eu, l’année précédente, une contestation avec frère Dragonet de Montdragon, prieur de Saint-Gilles, de l’ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem, chargé de la maison de cet ordre à Saint-Nexans, près Bergerac, au sujet de diverses acquisitions faites à Bergerac ou dans sa châtellenie, c’est-à-dire dans les paroisses de Saint-Martin, de la Madeleine, de Lembras, de Queyssac, de Saint-Julien-de-Crempse, de Campsegret et de Maurens, par frère Pierre de Villabeau, prédécesseur de frère Montdragon, et dont l’ordre s’était mis en possession, sans la permission de ce seigneur de Bergerac, et sans avoir rempli les obligations féodales du temps, par suite de quoi ces biens, parmi lesquels figurait le moulin de Pombonne, dans Bergerac même, étaient, disait-il, tombés en commise, et lui appartenaient. Après de longues controverses, survint un arrangement, qui conserva tous ces domaines à l’ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem, et lui en laissa la libre jouissance.
    Sources : Dessalles, Léon. Histoire du Périgord. Tome 2, pages 80 et 81. BNF

    A une petite distance de Condat, en suivant les sinuosités de la Vézère, nous trouvons le village de Sergeac, un des membres les plus importants de la Commanderie que nous étudions, C’était dans le principe un florissant établissement des Templiers ; ils en avaient fait dans les derniers temps la résidence des Maîtres de leur Ordre en Périgord.
    Le plus ancien acte que nous fournissent ses archives est un accord conclu le jeudi avant la Noël de l’année 1275, entre Hélie de Rudel, seigneur de Bergerac et de Montignac, et Gérard de Lavergne, précepteur du Temple en Périgord ; le premier cédait au second tout ce qu’il possédait à Sergeac et recevait en échange le mas de Bersac.

    Chapelle Templière de Sergeac


    Chapelle Templière de Sergeac
    Chapelle Templière de Sergeac


    Quelques années plus tard, un certain nombre de bienfaiteurs vinrent donner au nouveau Temple de Sergeac une véritable importance: pendant que Raymond d’Imbert, damoiseau, faisait libéralement cession de tous ses fiefs situés sur ce territoire, Réginald de Pons, gendre d’Hélie de Rudel, se dessaisissait en faveur des Templiers et du précepteur Géraud de Lavergne, de tous ses droits sur Sergeac, de la haute justice, etc., réservant seulement, en signe de suzeraineté, le paiement d’un marabotin d’or à chaque mutation de seigneur de Montignac et de Grand-Maître du Temple (1295).

    En effet, la suite des archives nous fournit plusieurs actes d’hommages faits par différents Commandeurs, d’abord aux comtes de Périgord, et accompagnés de l’offrande du marabotin d’or.

    Hospitaliers de Saint-Jean
    Mais, si les chevaliers se montrèrent fidèles à leurs engagements, il ne semble pas qu’il en ait été de même pour leurs suzerains. Déjà en 1367, le précepteur Arnaud de Rivière avait dû protester énergiquement contre le prévôt de Montignac, qui prétendait exercer la haute juridiction sur Sergeac, au nom du comte Roger-Bernard de Périgord. Après la mort de ce dernier, les difficultés devinrent bien autrement sérieuses. Nous arrivons à une période où toute cette contrée fut en proie aux malheurs de la guerre générale et aux troubles d’une lutte intérieure. Archambault IV, dit le Vieux, fils de Roger-Bernard, s’était allié aux Anglais. A la tète des bandes ennemies, il avait causé beaucoup de mal aux armées françaises; battu, obligé d’aller se réfugier à Londres pour éviter le châtiment qu’il avait mérité, il vit ses biens confisqués et le Périgord réuni à la couronne de France, en 1396. Son fils Archambaud V, dit le Jeune, qui avait partagé sa révolte, signa un nouveau traité avec les Anglais; grâce à leurs secours, il put recommencer la lutte et porter la désolation dans tout le Périgord. Le maréchal de Boucicaut marcha contre lui à la tête d’une armée française, l’assiégea et le força à capituler dans sa citadelle de Montignac; c’est ainsi que le dernier représentant de la famille des anciens comtes de Périgord fut emmené prisonnier à la Bastille de Paris, où le Parlement fut chargé de le juger (1398).

    Le Grand-Prieur de Toulouse vint de son côté implorer du Conseil du Roi le redressement des torts dont le comte Archambaud s’était rendu coupable envers les chevaliers de Saint-Jean, pendant qu’il occupait de force les domaines confisqués à son père. Comme nous l’avons vu, les vassaux de l’Hôpital étaient exempts du paiement des tailles, des services de guet et de garde, et des autres servitudes dans le comté de Périgord. Mais ces privilèges ne faisaient pas l’affaire d’Archambaud, qui, pour soutenir la lutte terrible où il s’était engagé, avait besoin de beaucoup d’argent et de beaucoup de bras pour défendre les murailles de Montignac. Aussi, sans vouloir entendre aucune réclamation, ordonna-t-il d’employer la violence contre les récalcitrants: « Les dicts hommes et subjects, eux sentans aggravés des dictes exactions, appelèrent du dict Archambault, ses gens et ses officiers. Non obstant le dict appel et en hayne et contempt d’icelluy, icelluy Archambault prinst ou fist prendre plusieurs des dicts hommes et fist mettre en ses prisons et, avant que ils en pussent partir, leur convint eulx rançonner et composer au dict Archambault et aussy prinst et fist prendre en sa main la dicte Commanderie et tous les biens meubles et ustensiles qu’il trouva en icelle et les fist mener au dict chastel de Montignac, et se efforça de prendre frère Arnaud de Rivière, Commandeur de la dicte Commanderie de Sergeac. Mais il se absenta pour doubte du dict Archambault, qui avait commandé que on le luy menast mort ou vif, pour le gouverner à sa guise, si comme il disoit... »

    Par ses lettres patentes, datées de Paris, le 17 février 1399, le roi Charles VI ordonnait au sénéchal de Périgord de faire restituer au Commandeur de Sergeac tout ce qu’on lui avait enlevé et de citer à sa barre tous ceux qui ne voudraient pas se conformer à cet ordre.

    Dans ces époques troublées, ces tentatives d’usurpations violentes n’étaient pas choses rares; il arrivait quelquefois que les vassaux eux-mêmes se chargeaient de s’y opposer. Les officiers de noble dame Françoise de Bretagne, comtesse de Périgord, avaient voulu, comme leurs devanciers, soumettre les habitants de Sergeac aux tailles exigées de tous ceux qui résidaient dans la châtellenie de Montignac. Mais les vassaux de l’Ordre protestèrent énergiquement et chargèrent leur syndic, Pierre de Marignac, de déclarer devant le sénéchal qu’ils ne se reconnaissaient justiciables que du Commandeur de Condat et nullement de la comtesse Françoise, à qui ils ne paieraient aucune taille (31 août 1459).

    Le château de Sergeac fut-il détruit pendant les guerres de religion ? Nous l’ignorons, toujours est-il que les procès-verbaux de visite ne mentionnent dans cette localité que l’église, les fours seigneuriaux et le port sur la Vézère, importante source de revenus dans cette contrée productive et commerçante.
    Sources: Grand-Prieuré de Toulouse, M.A. Du Bourg (1883)


    Soulet (24)

    Maison du Temple de Soulet


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Verteillac, Commune: Gout-Rossignol - 24


    Maison du Temple de Soulet
    Maison du Temple de Soulet


    La Maison du Temple du Soulet à Gout avec son moulin sur les bords de la Nizonne, possédait la paroisse « Goust soletum » en 1246, puis les bois et écarts alentours dont le lieu-dit Figuerasse en 1291.

    Elle avait pour précepteur Ysard de Chaussade de 1291 à 1301. Voyez le Procès des Templiers de Michelet et Léonard, Cartulaire Général du Temple.

    Après la reprise par les hospitaliers elle fut rattachée Combéranche, et détachée en 1457, puis réunie à Condat en 1480.
    Publié sur le site avec l'aimable autorisation des Editions Pilote 24
    Sources: André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002


    Ysardus de Chaussada


    Chaussade (Ysard de, Ysardus de Chaussada)
    Appelé aussi ysardus Petragoricense diocesis, [1291-1301]
    Peut-être vivant en 1311, Sergent, sans doute Y. de Chaussada, commandeur du Soulet en 1301.

    Est cité comme étant présent en 1291 à la maison du Temple de Folhas (Le Fouilloux, Charente) à la réception de Hugo de Jansac.
    Sources: Roger Sève, Anne-Marie Chagny-Sève Procès des Templiers d'Auvergne 292

    Maison du Temple des Andrivaux


    Gerardus de Vernhia interdum nomine « præceptoris domus de Andrivalle et aliarum domorum milicie Templi in Petragoricensi diocesis », insigniebatur, et etiam « preceptoris domus de Andrivalle. » Domus enim illa Petracoricensis balliviæ caput erat.
    Præceptores ejus dicuntur
    G. de Traulega - 1228.
    B. Blanc - 1235.
    Petrus de Petragoris - vers 1245.
    P. Donaderi - 1250. (Finke, Tome II, page 318)
    Sicardus de la Rocha - 1252.

    Petrus de Petragoris domum tantum Andrivallis regebat et in ditione Raimundi Ayz, præceptoris balliviæ Petracoricensis, erat. De ceteris incertum est utrum soli huic domui an toti balliviæ præessent.
    — Archives de la Haute-Garonne, Malte, fonds d'Andrivaux et de Condat. Bibliothèque Nationale, collection de Périgord.
    — Voyez M. Trudon des ormes page 203
    — Voyez M. Du Bourg, page 521.

    Sources: E.-G. Léonard, page 100 — Introduction au Cartulaire manuscrit du Temple (1150-1317), constitué par le marquis d'Albon et conservé à la Bibliothèque nationale, suivie d'un Tableau des maisons françaises du Temple et de leurs précepteurs. — Paris, E. Champion, 1930. ln-8º, xv-259 pages.

    Procès des Templiers, tome II, page 234


    Quo facto, dictus frater Hugo de Jansac, quadragenarius vel circa, qui mantellum voluntarie dimiserat et radi fecerat sibi barbam, cum quo inquisitum fuerat, absolutus et reconciliatus per dominum episcopum Claromontensem, lectis et diligenter expositis sibi omnibus et singulis articulis, respondit se nescire, nec credere, nec audivisse dici de contentis in eis nisi quod sequitur videlicet quod ipse receptus fuerat per fratrem Petrum de Madito militem quondam, in capella domus Templi de Folhos diocesis Xantonensis, circa medium Augustum instantem erunt XX anni, presentibus fratribus Ysarno de Petragoricinio serviente, cujus cognomen ignorat, Stephano de Monte Acuto laramontensis diocesis, quos crédit vivere Guillelmo Pictavini preceptore de Castro Bernardi,
    et Roberto Guideti servientibus, deffunctis.
    Sources: Procès des Templiers, publié par M. Jules Michelet, tome 1 et 2 - Imprimerie Nationale - Paris - M. DCCC. LI.

    Maison du Temple de Soulet


    Citations relevés dans le Dictionnaire Topographique et Historique de la Dordogne et ayant un rapport plus ou moins important avec de Maison du Temple de Soulet

    Balobelia


    — Commune de Cherval.
    — Maynamentum (Mainement), vocable Baloberie in loro lou pony de Charcard, 1463 (archives de l'O.S.J.)
    — Terrier de la Maison du Temple de Soulet.

    Beauvais


    — Hameau commune de Lussas.
    — Repayre de Belver, 1456.
    — Belverium, 1492 (O.S.J.)
    — Repaire noble.
    — Dépendance de la Maison du Temple de Soulet.

    Charmandeys


    — Lieu-dit sur la commune de Cherval.
    — Termin. Vocable de Charmandeys, 1464 (O.S.J.)
    — Terrier de la Maison du Temple de Soulet

    La Charouffie


    — Commune de Cherval.
    — Maynamentum (Mainement) de la Charrofie, 1463 (O.S.J.)
    — Terrier de la Maison du Temple de Soulet

    La Croix


    — Hameau, commune de Goûts (Statistique Postal)
    — Maynamentum (Mainement) de la Croix Soubeyran, xviie siècle (O.S.J.)
    — Dépendance de la Maison du Temple du Soulet.

    La Demarie


    — Commune de Cherval.
    — Maynamentum (Mainement) de la Deymaria, 1464 (O.S.J.)
    — Terrier de la Maison du Temple de Soulet.
    — Las Deymarias, XVIIe siècle (O.S.J.)

    Gandillac


    — Hameau, commune de Saint-Martial-de-Viveyrol.
    — Mayn. de Gandilhac, 1463 (O.S.J.)
    — Dépendant de la Maison du Temple du Soulet.

    Les Jaboys


    — Domaine commune de Cherval.
    — La Croix-Panche, XVIIe siècle (O.S.J.)
    — Dépendant de la Maison du Temple de Soulet.

    La Jarrige


    — Hameau ou lieu-dit, commune de Cherval.
    — Maynamentum (Mainement) de la Jarriga (O.S.J.)
    — Terrier de la Maison du Temple de Soulet.

    Malperier


    — Commune de Cherval.
    — Las Peyrieyras de Mal Rival, 1464 (O.S.J.)
    — Terrier de la Maison du Temple de Soulet.

    Paleterbe


    — Commune de Cherval.
    — Maynamentum (Mainement) de Paleterra, 1454 (O.S.J.)
    — Membre de la Maison du Temple de Soulet.

    La Peyrieras


    — Commune de Cherval.
    — Locus vocable en las Peyrieras de Mal-Rival, 1454 (O.S.J.)
    — Membre de la Maison du Temple de Soulet.

    Place


    — Lieu-dit, commune de Nanteuil-de-Bourzac.
    — La Plazio, 1450 (O.S.J.)
    — Membre de la Maison du Temple de Soulet.

    La Rochebeaucourt-et-Argentine


    (Hospitaliers)
    Plas, commune de la Roche-Beaucourt.
    — Maynamentum (Mainement) vocable de Plat « in paroisse de Argentina » , 1452 (O.S.J.)
    — Membre de la Maison du Temple de Soulet.
    — Pouyade (La), commune de la Roche-Beaucourt (O.S.J.)
    — Dépendant de la Maison du Temple du Soulet.

    Rochoul


    — Ecart et moulin, commune de Bouteilles-Saint-Sébastien
    — Rochola, 1451 (O.S.J.).
    — Dépendant de la Maison du Temple de Soulet.

    Salvamie


    — Hhameau ou lieu-dit, commune de Cherval.
    — Maynamentum (Mainement) de la Salvamia, 1463 (O.S.J. Terrier de Soulet)
    — Membre de la Maison du Temple de Soulet.

    La Seguenie


    — Commune de Cherval.
    — Maynamentum (Mainement) de la Seguynia, 1464 (O.S.J.)
    — Terrier de la Maison du Temple de Soulet.

    Le Bois de Soulet


    — Bois et écart, commune de Goust.
    — Soletum, 1246 (Gallia Christiana II, Aubeterre).
    — Sollet, 1530
    — Claux de Soulet, 1689.
    — partir de 1312 devient une commanderie de l'ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem et paroisse (O.S.J.)
    — Maisont du Temple dès 1246, les Templiers possédaient la paroisse, les bois aux alentours, le lieu-dit Figuerasse en 1291.

    Vaumoure


    — Hameau, commune de Saint-Martial-de-Viveyrol.
    — Maynamentum (Mainement) de Valmora, 1466 (O.S.J.)
    — Dépendant de la commanderie de Soulet.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.


    Temniac (24)

    Domaine du Temple de Temniac


    Département: Dordogne, Arrondissement: Sarlat-la-Canéda, Canton et Commune: Sarlat-la-Canéda - 24


    Domaine du Temple de Temniac
    Domaine du Temple de Temniac


    L'église (MH) romane du XIIe siècle avec abside en cul-de-four, jouxte un château médiéval ayant appartenu aux templiers: « preceptoribus Templi et demorum Tempnhacum » 1180 (PVM). Relevait de l'évêché de Sarlat.

    Château et Eglise de Temniac



    Château et Eglise de Temniac
    Château et Eglise de Temniac - Sources: Jack Bocar


    Publié sur le site avec l'aimable autorisation des Editions Pilote 24. Sources: André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002


    Temple (Le) Périgord (24)

    Lieux Le Temple dans le Périgord


    Lieux Le Temple dans le département du Périgord, pour certains lieux-dits, ils ont disparu et ne peuvent donc pas être localiser sur les cartes de Cassini, IGN ou d'Etat-Major.

    Le Temple


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Ribérac, Commune: Bertric-Burée, Hameau: Lusignac - 24


    Le Temple de Lusignac
    Le Temple de Lusignac


    — Le Temple près de Lusignac (O.S.J.)
    — Ce hameau était possession de l'Ordre du Temple.
    — Cette possession fut adjointe sous les Hospitaliers de Saint-Jean à la commanderie de Combérenche.

    Le Temple


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Ribérac, Commune: Champagne-et-Fontaine - 24
    — Terra vocable del Temple, 1463 (O.S.J.)
    — Probablement uniquement des terres.
    Le nom Temple a disparu de cette commune

    Le Temple


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Brantôme, Commune: Grand-Brassac - 24


    Le Temple de Grand-Brassac
    Le Temple de Grand-Brassac


    — Ecart, commune du Grand-Brassac.

    Le Temple


    Département: Dordogne, Arrondissement: Bergerac, Canton: Sud-Bergeracois, Commune: Pomport - 24


    Le Temple de Pomport
    Le Temple de Pomport


    — Domaine et Pièces de terres nº 710, commune de Pomport (Annonces judiciaires)

    Le Temple


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Brantôme, Commune: La Rochebeaucourt-et-Argentine - 24


    Le Temple de La Rochebeaucourt
    Le Temple de La Rochebeaucourt


    — Ruines du Temple dans la forêt de la Rochebeaucourt (Atlas du Périgord par Belleyme)

    Le Temple


    Département: Dordogne, Arrondissement: Bergerac, Canton: Sud-Bergeracois, Commune: Eymet - 24
    — Hameau, commune de la Rouquete ou Eymet.
    — Le hameau Le Temple est introuvable sur les cartes de Cassini et sur Ign.
    Le nom Temple a disparu de ces communes

    Le Temple


    Département: Gironde, Arrondissement: Libourne, Canton: Le Réolais et Les Bastides, Commune: Saint-Avit-Saint-Nazaire - 33


    Le Temple de Saint-Avit-Saint-Nazaire
    Le Temple de Saint-Avit-Saint-Nazaire


    — Hameau Le Temple, près de Saint-Avit-Saint-Nazaire.

    Le Temple


    Département: Dordogne, Arrondissement: Nontron, Canton: Thiviers, Commune: Saint-Jean-de-Côle - 24
    — Commune de Saint-Jean-de-Côle, le Temple était dans le village (cadastre).
    Le nom Temple a disparu de cette commune

    Le Temple


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Ribérac, Commune: Saint-Martial-Viveyrol - 24
    — Hameau, commune de Saint-Martial-Viveyrol (Le Temple était dans le village).
    Le nom Temple a disparu de cette commune

    Le Temple


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Ribérac, Commune: Chassaignes - 24
    — Peut-être: Commanderie de Condat, membre commanderie de Comberanche qui à pour membre (Chassagnes) de nos jours Chassaignes - Dordogne
    Peut-être est-ce le même que celui de Saint-Paul-la-Roche, l'ancien nom était Saint-Paul-Chassaigne

    Forêt du Temple


    Département: Dordogne, Arrondissement: Nontron, Canton: Thiviers, Commune: Saint-Paul-la-Roche - 24


    Le Temple de Saint-Paul-la-Roche
    Le Temple de Saint-Paul-la-Roche


    — commune de Saint-Paul-la-Roche.
    — 1494 (O.S.J.)
    — Hameau, commune de Saint-Paul-la-Roche.
    — Praeceptaria de rupe Sancti-Pauli, 1373 (Abbé de Lespine et O.S.J.)

    Le Temple


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Brantôme, Commune: Sencenac-Puy-de-Fourches - 24


    Le Temple de Sencenac
    Le Temple de Sencenac


    — Le Temple, écart, commune de Sencenac.

    Le Temple


    Département: Dordogne, Arrondissement: Sarlat-la-Canéda, Canton: Vallée de l'Homme, Commune: Sergeac - 24


    Le Temple de Sergeac
    Le Temple de Sergeac


    — Commune de Sergeac.
    — Fasio Templi, 1304 (O.S.J.)
    — Une des limites de la commanderie de Sergeac.
    — Le Temple a été remplacé par commanderie de Sergeac

    Le Temple


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Ribérac, Commune: Siorac-de-Ribérac - 24


    Le Temple de Siorac
    Le Temple de Siorac


    — Le Temple, écart, commune de Siorac-de-Ribérac, dans la Double (Statistiques Postales)

    Le Temple


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Ribérac, Commune: Verteillac - 24


    Le Temple de Verteillac
    Le Temple de Verteillac


    — Le Temple, hameau près de Coutures, commune de Verteillac.

    Mas du Temple


    Département: Dordogne, Arrondissement: Nontron, Canton: Thiviers, Commune: Saint-Pierre-de-Côle - 24
    — Commune de Saint-Pierre-de-Côle.
    — 1460 (O.S.J.)
    — Le Temple, était probablement une maison dans la ville de Saint-Pierre-de-Côle.
    — Ne figure pas sur les Cartes de cassini, pas plus sur celles de l'Ign.
    Le nom Temple a disparu de cette commune
    — Il y a une ancienne Maison du Temple à Puymartin et une autre à Lampzours.

    Le Temple-Laguyon


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Haut-Périgord noir, Commune: Hautefort - 24


    Temple-Laguyon
    Le Temple d'Hautefort dit Temple-Laguyon


    — Domus de Lagueos, 1252 (Abbé de Lespine 25, Tourtoirac)
    — Preceptoria Templi de Laqueo, 1373 (Abbé de Lespine et O.S.J.)
    — Le Temple de Layguyon, autrement appelé Temple-le-Secq, 1662 (O.S.J.)
    — Maison de l'ordre du Temple, dépendant de la Maison du Temple d'Arsins, en Bordelais sous les Hospitaliers de Saint-Jean, 1551 (archives de la Gironde inventaire 1640)
    — Vocable Saint-Jean-Baptiste, sous les Hospitaliers

    Le Temple-de-l'Eau


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Isle-Loue-Auvézère: Commune: Cherveix-Cubas - 24


    Le Temple de L'Eau
    Le Temple de L'Eau


    — Le Temple de l'aygue-Saint-Martial, 1551.
    — Saint-Blaise-du-Temple-de-Laygue, 1662 (O.S.J.)
    — Le Petit Temple (Pau, Châtellenie d'Hautefort)
    — Eglise annexe du Temple-la-Guyon.
    — Le Vignou-du-Temple
    — Pièce de terre, commune de Cherveix (Annonces judiciaires)
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.


    Temple de L'Eau (24)

    Le Temple de l'Eau


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Hautefort, Commune: Cherveix-Cubas - 24


    Le Temple de l'Eau
    Le Temple de l'Eau


    La commanderie templière de Temple-de-l'Eau (de L'Aygo) ou de Saint-Martial « Sanctus Marcialis inter aqua » existait au XIIe siècle. On relève (1): « le 2 des Ides de Septembre 1274, Géraud de Faye, seigneur d'Hautefort et de Thenon, confirma les donations, aumône et une rente de 10 sols (ou livres ?); faite par madame Marguerite de Born, la mère en faveur de la maison des templiers du Pont Saint-Martial... et approuva et valida en même temps toutes les acquisitions que cette maison avait faite dans les terres et domaines. »
    1. Bibliothèque Nationale, collection Périgord, page 35.

    Les hospitaliers quand ils en héritèrent (en payant) lui conservèrent son titre de Commanderie, rattachée à Condat. Les chevaliers jouissaient des mêmes droits que pour le Temple-Le-Sec, mais à la fin de XVe siècle le commandeur Jean de Léoncel dut interposer son autorité pour protéger ses vassaux du temple de Laygo contre les vexations des seigneurs du voisinage, qui, malgré les privilèges concédés par les rois de France et ceux d'Angleterre, voulaient les forcer à venir porter leurs blés à leurs propres moulins (1487) (2).
    2. Archives Laugo, L. XII

    Par la suite les commanderies de la région eurent à subir les troubles des guerres de religion et l'occupation des huguenots de Turenne qui dévastèrent les possessions hospitalières.
    En 1551 à Cherveix, les hospitaliers possédaient la maison d'habitation Monneix, dite l'ancienne chapelle, Mosnier (OSJ).
    — Temple de l'Aygue San Martial
    En 1662 on relève que l'église est dédiée à saint-Blaise du temple de Laygo (OSJ), ensuite est appelée « Le petit temple » (Pau, châtellenie d'Hautefort).
    De nos jours il ne reste plus rien de cette commanderie qu'un tas de pierres dans les broussailles et l'indication du lieu sur les cartes de l'I.G.N.
    Publié sur le site avec l'aimable autorisation des Editions Pilote 24
    Sources: André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002


    Le Temple-de-l'Eau (Le)


    — Temple-de-l'Eau (Le), Secteur de la commune de Cherveix-Cubas.
    — Le Temple de l'aygue-Saint-Martial, 1551.
    — Saint-Blaise-du-Temple-de-Laygue, 1662 (O.S.J.)
    — Le Petit Temple (Pau, Châtellenie d'Hautefort).
    — Eglise annexe du Temple-la-Guyon.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.


    Temple Laguyon ou Le Sec (24)

    Le Temple-Laguyon ou Temple Le Sec


    Département: Dordogne, Arrondissement: Périgueux, Canton: Hautefort, Commune: Chourgnac - 24


    Le Temple Laguyon
    Le Temple Laguyon


    Bâtie sur une hauteur la commanderie des templiers de « Temple-le-Sec » ou Temple « Laguyon » devait son nom à l'absence d'eau, et pour la différencier de celle de « Temple-de-l'Eau » située sur les bords de L'Auvézère. Il ne reste plus de la commanderie que la chapelle templière dédiée à saint Jean-Baptiste depuis que les hospitaliers occupèrent les lieux.

    Le plafond de la chapelle est décoré d'un oeil inscrit dans un triangle, signe du savoir ésotérique d'un compagnon maçon ?

    Temple Laguyon ou Temple-le-Sec



    Temple Laguyon ou Temple Le Sec
    Temple Laguyon ou Temple-le-Sec - Sources: Jack Bocar


    — « Domus Templi de Lagueos » 1252. (Aire d'influence du vicomte de Limoges).
    — « Praeceptoria Templi de Laqueo » 1373 (OSJ).
    — Hameau de Maumont « Prepositura de Malo Monte » 1621 (OSJ).
    — Domaine de Pendude, 1621 (OSJ).
    — Le temple de Layguion, (autrement le secq) 1662 (OSJ).

    Après la disparition des templiers la commanderie revint aux hospitaliers dont les chevaliers jouissaient de la seigneurie spirituelle, des droits de Viguerie, de taxe sur la viande, le pain et le vin, de leyde et de plaçage pour les denrées portées au marché les jours de fêtes votives; tous ces droits appartenaient aux seigneurs d'Hautefort, mais où les vassaux de l'Ordre étaient exempts de guet et de garde au château de leur suzerain.
    Publié sur le site avec l'aimable autorisation des Editions Pilote 24
    Sources: André Goineaud-Bérard, Templiers et Hospitaliers en Périgord - Editions Pilote 24, février 2002


    Temple Laguyon ou Temple-le-Sec



    Temple Laguyon ou Temple Le Sec
    Temple Laguyon ou Temple-le-Sec - Sources: Jack Bocar


    Maison du Temple-la-Guyon


    Le Temple-la-Guyon, commune, canton d'Hautefort.
    — Domus de Lagueos, 1252 (Abbé de Lespine 25, Tourtoirac).
    — Preceptoria Templi de Laqueo, 1373 (Abbé de Lespine et O.S.J.)
    — Le Temple de Layguion, autrement appelé Temple-le-Secq, 1662 (O.S.J.)
    — Maison de l'ordre du Temple.
    — Dépendant de la Maison du Temple d'Arsins, en Bordelais sous les Hospitaliers de Saint-Jean, 1551 (archives de la Gironde inventaire 1640)
    — Vocable Saint-Jean-Baptiste, sous les Hospitaliers

    Saint-Jean


    — Chapelle ruinée près du pont d'Exideuil.
    — Capella Sancti Johannis de la Reclusa, 1490 (O.S.J.)
    — Dépendant de la Maison du Temple de la Guyon.
    Sources: M. Le Vicomte de Gourgues - Dictionnaire Topographique du Département de la Dordogne - Paris Imprimerie Nationale - M DCCC LXXIII.


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