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Commanderie de Paulhac
Département: Creuse, Arrondissement: Guéret, Canton: Le Grand-Bourg - 23

Domus Hospitalis Paulhac
Domus Hospitalis Paulhac

Paulhac (ou Pauliat) est un hameau important de la commune de Saint-Etienne-de-Fursac, situé sur la Gartempe, à une très petite distance de l'endroit où cette rivière sort du département de la Creuse pour entrer dans celui de la Haute-Vienne. C'était le chef-lieu d'une commanderie à laquelle étaient rattachés les membres de Sauvagnac et de Lascroux.

On y voyait une grande église paroissiale complètement voûtée et dominée par une grosse tour carrée où étaient deux cloches, « l'une desquelles avoit esté desrobée, que ledit sieur commandeur de Saint-Hirié] recouvra, [vers 1616], par arrest de la cour du parlement de Bourdeaux. » Cette église était dédiée à saint Jean-Baptiste, et dans sa nef se trouvaient les autels de sainte Catherine et de sainte Radegonde. Le saint sacrement y reposait dans un tabernacle de bois placé sur le maître autel.

Le curé chargé de desservir la paroisse recevait une pension de douze livres et de sept setiers de seigle, mesure de Paulhac, les trois faisant la charge. Il percevait, en outre, quelques dîmes rapportant six ou sept setiers de seigle, tantôt sur Saint-Etienne-de-Fursac, tantôt sur Folles, et jouissait de différents immeubles et d'une vicairie fondée dans une chapelle dédiée à saint Fiacre, qui était voisine de l'église de la commanderie. A cette vicairie étaient attachés une maison, un jardin et une rente de onze setiers de seigle.

Le château de la commanderie de Paulhac comprenait « ung grand corps de logis faict en façon et forme carrée, une basse-cour au milieu, et une autre grande basse-cour » sur laquelle s'élevaient plusieurs bâtiments de service. On y entrait « en passant par un ravelin de murailles... et par un grand portail en forme ronde. » Il était flanqué, à l'intérieur, de grosses tours carrées qui avaient été partiellement démantelées en 1576, probablement par les Protestants.

Il serait trop long de donner le détail de tous les immeubles qui dépendaient de la métairie. Je mentionnerai le pré du Mas, de quatorze ou quinze journaux le « pastural » de « las Rebeiras, » de onze séterés ; une terre de dix-huit séterés, située sur le chemin conduisant de Paulhac à Laurière ; une autre terre de quinze sétérées, sise entre les chemins tendant de Paulhac à Fursac et de Bellac à Bénevent l'étang de la Plau et l'étang Neuf ; un pré de vingt-cinq journaux et une garenne sur le chemin allant de Paulhac à la Cheirade « ung bois de haulte fustaye de vieux arbres, tous ruinés de longue main, lequel peut contenir environ cent arpens, » confrontant à la forêt de Laurière et au chemin allant de Paulhac à Limoges ; l'étang de « la Verayte ; » le moulin du Temple, assis sur la Gartempe, à une demi-lieue de Pauhac, « consistant en trois moulins soubz ung mesme couvert, l'ung pour le seigle, l'autre pour fouller les draptz, l'autre pour les carder », affermé vingt livres, quarante-cinq setiers de seigle, mesure de Paulhac, et quatre livres de cire ung autre moulin, appellé de Côte-Plane, affermé quarante setiers de seigle ; un troisième moulin et ung étang « appelles de la Brousse, » affermés quinze setiers de seigle, et « plusieurs champs communs, fonds en landes, sur lesquelz ledit sieur commandeur prend le droit de terrage de trois gerbes l'une quand on y sepme, estans scitués en plusieurs endroits autour dudit bourg, et lesquelz peuvent contenir environ trois à quatre centz séterés de terre. »

« Et est ledit commandeur seigneur hault, et justicier en toute justice haulte, aussi moyenne et basse, dudit lieu et bourg de Paulhac, sur le village de Chastenet, de la Roberterie, de Beaunoys, de la Chieze ; aussy a justice haulte, moyenne et basse sur les villages de la Chastanede, et de Ville-Chabrolle, peïs de Poitou. »
Il percevait les dîmes de ces villages et de quelques autres, et ces dimes produisaient environ deux cent quatre-vingt-trois setiers de seigle, soixante ou quatre-vingts agneaux et « ung plein sac de layne. »

Les rentes de la commanderie de Paulhac étaient considérables.
A Paulhac, il était levé, sur trente-quatre « tenues » ou tenures, seize livres argent, trente-sept setiers de froment, six setiers de seigle, soixante-douze setiers d'avoine, cent-vingt-cinq poules, soixante-quatre corvées, dix sols pour chaque paire de boeufs, cinq sols sur les feux n'ayant pas d'attelage et sept sols et demi « pour chasque hoste, à cause du fournage »
A Beaunois, qui était compris dans la paroisse de Pauliac, quatre livres, quatre poules, seize setiers de seigle, quatre setiers d'avoine et deux corvées par chaque tenure.
À Saint-Etienne-de-Fursac, sur les villages de Crépiat, des Vergnes d'Ansannes, de La Chaise, de Maufromage, de Belleville, des Meydes, etc., trente livres, cinquante-deux poules, seize setiers de froment, dix setiers de seigle, cinquante-trois setiers d'avoine, des corvées pour le bois, et, dans quelques tenures, trois sols par feu pour le guet. À Folles, trois livres, deux setiers de froment, quinze setiers de seigle, neuf setiers d'avoine et deux corvées.
À Saint-Michel-Laurière, sur les villages de la Courière, de Baugiraud, de « Volouda, » du Mas-Crozier, etc., onze livres, douze setiers de froment, trente-quatre setiers de seigle, trente-un setiers d'avoine, vingt-six poules et huit corvées.
À Marsac, vingt livres, onze setiers de froment, quarante-un setiers de seigle, cinquante setiers d'avoine, trente-cinq poules, six corvées et quatre quartes de vin.
À Chamborand, dont l'église était en Poitou, sur les villages du Mont, du Grand-Nérat, de « la Faye-Parricault, » et de Belivier, qui appartenaient au Limousin, six livres, un setier de froment, trente-six setiers de seigle, vingt-sept setiers d'avoine, deux poules et deux corvées.
À Arrênes, vingt-trois livres, dix-huit setiers de froment, quarante-sept setiers de seigle, cinquante-cinq setiers d'avoine, cinquante-une poules et seize corvées.
À Saint-Sulpice-Laurière, quarante-deux livres, douze setiers de seigle, cinq setiers d'avoine, deux setiers de châtaignes et une poule ; au Bourg, quatre livres, trois setiers de froment, sept setiers de seigle, treize setiers d'avoine et sept poules.
À Jabreilles, quatre livres, six setiers de seigle, onze setiers d'avoine, neuf poules, deux corvées et une vinade.
À Bersac, quatre livres, trois setiers de froment, quarante-quatre setiers de seigle, vingt-neuf setiers d'avoine, dix poules, cinquante sols pour vinades, deux corvées et la dîme des agneaux.
À Saint-Pierre-de-Fursac, en Poitou, seize sols, un setier de froment, quatre setiers de seigle et deux setiers d'avoine.
À Saint-Priest-la-Feuille, huit sols, sept setiers de seigle et deux quartes de froment.
À Saint-Dizier, dix livres, douze sols, quinze setiers de froment, vingt-deux setiers de seigle, quarante-cinq setiers d'avoine et trente-sept poules.
À Mourioux, dix-huit livres, treize setiers de froment, cinquante-sept setiers de seigle, soixante-huit setiers d'avoine, quatre poules et dix corvées.
À Châtelus, quatorze livres, un setier de froment, quatre-vingt-trois setiers de seigle, quarante-sept setiers d'avoine, trente-neuf poules, douze corvées et un droit de guet au village de Chabrolle, qui était possédé en fondalité et justice haute, moyenne et basse. Enfin, à Saint-Goussaud, dix livres, dix setiers de froment, cinquante-trois setiers de seigle et quarante-huit setiers d'avoine.

Cet ensemble de revenus était grevé de diverses charges. Chaque dimanche, depuis un temps immémorial, il était distribué en aumône un setier de seigle, il était dû au baron de Laurière, vingt-cinq setiers de blé, quatre setiers d'avoine et quarante sols ; aux religieuses de la Ronde, quatre setiers de seigle ; au curé, six setiers de seigle et quatre écus, et, enfin, au curé de Fursac, douze setiers de seigle pour la vicairie de Saint-Barthélemy de Bénévent.
Les droits de lods et ventes se payaient à raison de vingt deniers par livre dans les possessions du Limousin et de la Marche, et de trois sols quatre deniers dans celles de Poitou.

Eglise paroissiale Saint-Jean-Baptiste
Ancienne chapelle castrale du 13e siècle, devenue église paroissiale, remaniée au 15e siècle. C'est un sanctuaire à nef unique et abside à pans coupés dont la construction peut remonter au 13e siècle, modifié au 15e par l'agrandissement de la fenêtre axiale de l'abside, et surtout par l'apport de voûtes sur croisées d'ogives de profils très fins. Il possède un décor de motifs végétaux, des croix de consécration, des litres funéraires avec ou sans armes et du faux appareil à la voûte. Les clefs de voûtes portent des éléments figurés : figure de femmes dans l'abside, et blasons. La technique de ces différents éléments semble s'étendre du 13e au 17e siècle. Quatre niveaux de peintures murales superposés. Le niveau inférieur comprend un ton ocre rouge sur les voûtes du 15e siècle, un faux appareil ocre rouge et brun entourant les deux baies du chœur et dans les ébrasements, huit croix de consécration inscrites dans des carrés, un grand arbre en bistre sur le mur sud. Le deuxième niveau présente une litre funéraire faisant le tour de la chapelle et portant des armoiries ; le troisième, un fragment de monument funéraire à la base du mur sud (fin 16e) ; le quatrième, de grosses feuilles d'acanthes rouge et jaune bordées de noir. BNF

Présentation de la commune de Paulhac-en-Margeride
Le territoire dépendait de la seigneurie des Mercœur depuis le 11e siècle mais les hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem détenaient quelques propriétés et l'église Saint-Jean-Baptiste de Paulhac était un prieuré de la commanderie de Gap Francès. D'après l'Abbé Prouzet un hameau, dont il ne reste plus de vestiges, s'était formé autour de la chapelle Notre-Dame de Beaulieu construite le long du ruisseau de la Dège (ou Diège). La population de la commune comptait 369 h en 1806 mais elle baissa dans la 1ère moitié du 19e siècle et n'atteignait que 330 h en 1896. L'exode rural entraîna une baisse démographique importante dès le deuxième quart du 20e siècle qui se confirma par la suite (1946 : 200 h ; 1975 : 178 h). Le 13 et le 14 juin 1944, les troupes allemandes incendient le village et plusieurs écarts de la commune par mesure de représailles à la suite d'engagements avec le maquis du Mont-Mouchet. Le 2 avril 1945 la commune et le village sont classés localité sinistrée. Dans le cadre du plan de reconstruction Nationale sept maisons sur une trentaine détruites sont entièrement rebâties aux frais de l'Etat au village et dans les écarts (Auzenc, Dièges). Au village reconstruction de la mairie-école ; création d'une place devant l'église après déplacement du cimetière, élargissement ou création de rues. L'architecte du projet est Lyonnet, architecte départemental. BNF

Paulhac. Wikipédia

Sauvagnac
Département: Haute-Vienne, Arrondissement: Limoges, Canton: Saint-Léger-la-Montagne - 87

Domus Hospitalis Sauvagnac
Domus Hospitalis Sauvagnac

Sauvagnac est aujourd'hui un petit hameau de la commune de Saint-Léger-la-Montagne, où l'on voit plusieurs vieilles constructions et qui est le but d'un pèlerinage encore très fréquenté. Ce membre de Pauhat consistait « en une église ou chapelle dediée soubs le titre de Nostre-Dame de Sauvagnat, laquelle n'est paroisse, ains une chapelle et oratoire de dévotion.
» Cette chapelle était desservie par un chapelain séculier, « sans aulcuns gages, ains au contraire ledit chapelain afferme les oblations et dévotions de ladite chapelle, du sieur commandeur ou ses fermiers, à la somme de deux cent vingt livres par an, pour le présent (1616). »
A cette chapelle étaient en outre attachés sept ou huit prêtres natifs de la paroisse, qui vivaient des profits du pèlerinage. Ces prêtres se plaignaient de confrères du dehors, qui venaient à Sauvagnac les jours où le concours des fidèles était considérable et leur enlevaient une partie de la recette de ces jours-là.
Les commandeurs de Naberat et de Chantelot-la-Cheze firent à ce sujet un règlement dont on trouvera plus loin le texte (1).
1. Documents, n° XI. BNF

L'église mesurait dix cannes sur deux et demie elle était flanquée de deux chapelles formant transept, était complètement voûtée et possédait une statue de la Vierge placée sur le grand autel, une grande croix d'argent, une vieille croix processionnelle « faicte du temps des Templiers, » un reliquaire de cuivre, etc.
Le commandeur était haut, moyen et bas justicier de Sauvagnac et de plusieurs villages voisins, et faisait exercer sa juridiction par des hommes de lois de Limoges. Il prenait toutes les dîmes du lieu et celles des villages de la Serre, des Gorses et de Mas-Vedrenoix, et en tirait environ cent soixante setiers de seigle, mesure de Paulhac. Il possédait un petit moulin situé sous un étang et appelé le moulm du Temple.

Il levait des rentes sur les villages :
De Sauvagnac, des Gorses, de la Serre, du Mazeaud, de Mallety (paroisse de Saint-Pierre-la-Montagne)
Du Mont, de Trenoux, du Mas-Vénedrains, de Bouilleras (paroisse d'Ambazac)
De la Bonassardy, de Chabanne (paroisse de Saint-Sylvestre)
De Bruyères, des Adoux (paroisse de Jabreilles)
De la Combe, de Cressac (paroisse de Saint-Sulpice-Laurière)
De Besassade, de Chanteloube (paroisse de Razès)
Des Faugières, de Champour, du Mas (paroisse de Bersac)
Du Grand-Joubre, de Baubiat, de Pierrefiche (paroisse de Bessines)
De Châtenet, de Vaucouze, de Jalinieux, de Puymonchet, de la Roche-Coquely, du Grand-Magnieux (paroisse de Saint-Pardoux)
De Nepoux (paroisse de Compreignac) ; de Villebert, etc., etc.
Ces rentes produisaient quarante-huit livres, quarante setiers de froment, deux cent trente-six setiers de seigle, cent soixante-seize setiers d'avoine et cent quatre-vingts poules.
Le membre de Sauvagnac était affermé huit cents livres.

Lascroux

Domus Hospitalis Lascroux
Domus Hospitalis Lascroux

Le membre de Lascroux consistait « en une eglise parrochialle dediée soubs le titre de saint Michel, seize au bourg de Fleurat, de laquel le seigneur commandeur est le seigneur spirituel et temporel, dixmier general, et le collateur de la cure... aussy en en une petite chappelle dediée soubs le tiltre saint Jehan-Baptiste, audit lieu de Lascrous, et en vieilles mazures, où soulloit avoir une maison et chasteau pour ladite commenderie, et en une mesterie, domaines, dixmes, cens, rentes et autres choses. »

L'église de Fleurat (canton du Grand-Bourg, Creuse) mesurait douze cannes sur quatre ; elle était en bon état et on y voyait plusieurs reliquaires et une paix émaillée. Le curé jouissait de divers immeubles et recevait une pension de douze setiers de seigle et de douze livres.
La chapelle de Lascroux mesurait sept cannes sur trois et demie. Les habitants du village, qui dépendaient de la paroisse de Salagnac, y faisaient « cellebrer la messe les dimanches et festes de commandement, à leurs despens. Proche de laquelle chapelle y a les muralhes et mazures d'une maison forte pour l'abitation des commandeurs, laquelle concister en ung grand pavillon, quatre tours aux coings, et ung advis de marches de pierre de tailhe, et y avoir trois ou quatre estages l'ung sur l'aultre, n'y ayant rien que des muralhes. Et hors dudit logis, avoir d'autres logis, le tout ayant bruslé par les guerres passées, en l'an mil Vc IIIIxx »
Près de la chapelle se trouvait un grand étang, et, sous l'étang, un moulin banal rapportant soixante-dix setiers de seigle, mesure de Salagnac.

Il serait trop long d'énumérer tous les immeubles.
La plupart avaient été donnés en emphytéose, et des rentes foncières sur Fleurat et la Grange avaient fait l'objet d'un échange avec madame Ysabeau de Pompadour, dame de Saint-Germain. Le commandeur levait sur Lascroux, cinquante-quatre sols, onze gelines, quatre setiers de froment, neuf setiers de seigle et sept setiers d'avoine ; sur Chantereine, quarante-huit sols, treize poules, cinq sotiers de froment, neuf setiers de seigle et huit setiers d'avoine ; sur « Badoualhe, » la Forge, Bariassoux, Besse, Vergnioux, Fougères, la Grange, Fleurat, Bressenty, la Bachelerie, etc., etc., vingt-six livres, trente-huit setiers de froment, cent quatre-vingts setiers de seigle, quatre-vingt-douze setiers d'avoine et quatre-vingts poules.

Ces rentes étaient chargées de redevances envers l'abbé de Bénévent, les chanoines de Saint-Etienne de Limoges, le seigneur de Salagnac et le sieur de Sauzet.
Les dîmes de Lascroux, la Forge, les Loges, la Badaurche et Chantereine, levées de moitié avec les chanoines de Saint-Etienne, rapportaient trente setiers de grains, et celles de Fleurat, cent trente-six setiers.
En résumé, les revenus de la commanderie de Paulhac ou Paulhac montaient, en 1616, à 3,750 livres.
Les charges, à 978 livres.
Il restait donc au commandeur. 2,772 livres.
Sources : A. Vayssière. Bulletin de la Société des lettres, sciences et arts de la Corrèze. Tulle 1884. - BNF

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